FC Bâle – Servette : Rien n’est jamais joué d’avance

FC Bâle – Servette : Rien n’est jamais joué d’avance

Énorme, fantastique, fort, etc… Les qualificatifs pour décrire la performance de Servette ce dimanche sont nombreux face au grand (sur les dernières années seulement) FC Bâle et qui plus est au Parc Saint-Jacques, ce stade maudit pour les servettiens depuis deux décennies.

Pourtant, le début du match fut totalement à l’opposé de ce que proposait le Servette FC depuis quelques semaines, avec un attentisme flagrant de l’arrière-garde genevoise combiné à un réalisme flagrant des bâlois qui fait que le FCB mène 2-0 après 20 minutes et cela ne souffre d’aucune contestation tant le SFC est hors du coup offensivement et fébrile derrière. On pouvait craindre le pire au moment de retourner aux vestiaires avec l’écart entre les deux équipes.

C’est tout le contraire qui se produisit en seconde période avec des Grenat qui sont métamorphosés et partent à l’abordage des buts de Jonas Omlin sans toutefois réussir à concrétiser les occasions. Cependant, malgré leur volonté de laisser le ballon à l’adversaire, Bâle va se créer des opportunités et on pense que Servette a laissé passer sa chance. Le tournant du match arrive à un quart d’heure du terme avec ce péno concédé par les Rotblau et converti par Imeri. L’actuel troisième de Super League aura une balle de match mais c’est sur un exploit de Stevanovic que le SFC va aller chercher le point du match nul, un score de 2-2 qui semble équitable au vue du match

Les notes

Frick : 6

Laissé à l’abandon sur les deux goals rhénans et malgré ses deux buts encaissés, il a passé un match très tranquille. C’est lui qui fait le dégagement pour Koné lorsque celui-ci vas aller obtenir le penalty.

Sauthier : 6,5

En difficulté lors du premier acte, il a été au rendez-vous offensivement mais cela s’est vu en fin de rencontre avec beaucoup d’espaces en fin de rencontre.

Rouiller : 6,5

Un peu tendre en début de match mais il s’est bien remis dans le sens de la marche.

Sasso : 6,5

Un peu attentiste sur l’ouverture du score au niveau du marquage, il est aussi ”coupable” de dévier la frappe de Fabian Frei mais comme son compère de charnière, il a tenu son rang par la suite.

Iapichino : 5,5

Sa prestation la moins aboutie depuis son retour en octobre. En difficulté sur son côté gauche tout au long de la rencontre.

Stevanovic : 8

Le ”match-nul” winner avec sa splendide frappe en fin de rencontre qui permet à Servette de repartir avec un précieux point. Dommage d’avoir été trop altruiste sur l’action ou il transmet le ballon à Koné.

Cespedes : 5

Totalement à contre-courant durant la première période, ce n’a pas été une surprise de le voir sortir avant l’heure de jeu.

Ondoua : 8

Belle performance du futur international camerounais (oui, on s’emballe) qui est revenu au niveau de son début de saison après un petit passage à vide.

Cognat : 7

Pas à son aise en début de match sur le côté gauche, il a repris du galon lorsqu’il fut repositionné dans l’axe.

Tasar : 7

Aligné en second attaquant, il a nettement mieux fait le job lorsqu’il est repassé sur le flanc gauche. Il aurait mérité d’inscrire un but.

Koné : 6,5

Généreux collectivement, il rate une grosse occasion en début de rencontre qui sera suivie par l’ouverture du score. Il a pesé sur la défense rhénane par la suite, en obtenant notamment le penalty qui remet Servette dans le match.

Imeri : Bonus

Un carton jaune stupide dès son entrée mais un sang-froid en moment de réduire l’écart. Sa montée au jeu à Saint-Gall est un lointain mauvais souvenir.

Alves : Bonus

Entrée très intéressante.

Routis : non noté

Trop peu de temps de jeu.

FC Basel-Servette FC : A l’assaut de la 3ème place

FC Basel-Servette FC : A l’assaut de la 3ème place

Le peuple genevois va se déplacer en masse du côté de la cité rhénane afin d’y affronter le club local ce dimanche 23 Février sur le coup des 16 heures. Le moral gonflé à bloc d’une large victoire face aux Zurichois, ils comptent bien revenir à hauteur de leur adversaire du jour.

La rencontre :

Les Servettiens surfent sur une impressionnante série de victoires depuis début décembre malgré un léger accrochage survenu le 9 février sur la pelouse du Kybunpark lors de la défaite sur le score de 1-0 face à St. Gall. Le week-end passé, ils ont pu démontrer au public genevois que leur quatrième place était plus que méritée, malgré le statut de néo-promu, et que l’équipe, emmenée par le capitaine Anthony Sauthier, a la capacité de faire bien plus que leur objectif de maintien du début de saison mais bien d’aller essayer de titiller ce fameux podium détenu par les inévitables 3 mousquetaires que sont Bâle, Young boys et Saint Gall. Cependant, s’il y a bien une stat que les supporters genevois (sauf les moins de 20 ans) ont en tête, c’est bien cette date de 1998. En effet, les Grenat ne se sont plus imposés au St. Jakob Park depuis le 25 octobre 1998 et un splendide doublé de Franck Durix. D’ailleurs ceux qui connaissent un minimum l’histoire de leur club (bisou à Constantin Georges), les Genevois soulevaient leur 17ème et dernier trophée de Ligue Nationale A et verra d’ailleurs la relégation en Ligue Nationale B de notre tendre et cher ami qu’est le FC Sion (on vous aime aussi les rageux). Ce Bâle-Servette est donc l’affiche de cette 23ème journée de Super League (oui, Saint-Gall et YB sont des équipes de seconde zone) entre une formation qui souhaite se relancer après une défaite sur sa pelouse face à la lanterne rouge et de l’autre une équipe plus qu’en forme et qui espère bien revenir à égalité avec son adversaire du jour.

Auteur d’une prestation XXL dimanche dernier, Stevanovic rééditera-t-il la même face aux Rhénans ?

L’adversaire :

Le FC Novartis enchaîne les contre-performances depuis ce début de l’année en s’inclinant à 3 reprises face aux Bernois (0-2) et St-Gallois (1-2), soit deux formations face auxquels ils se doivent de marquer des points dans le but de ne pas se laisser distancer, mais surtout cette défaite survenue sur leur pelouse face au FC Thoune alors qu’ils tenaient le match mais à l’instar des Bernois, le dernier geste leur faisait défaut. Heureusement pour eux, l’équipe entraînée par Marcel Koller est quelque fois capable de réalisme, comme ce fût le cas au Letzigrund en s’imposant 4 buts à 0 face au FC Zürich. Les genevois ont donc l’avantage d’affronter une équipe actuellement en plein doutes et qui sera d’ailleurs diminuée suite à un long déplacement sur l’île chypriote dans le cadre des 1/16ème de finale de l’Europa League face à l’APOEL Nicosie malgré une victoire facile 3-0. De plus, la chance étant de leur côté pour une fois, le FC Bâle n’est pas épargné par les blessures puisque l’on ne dénombre pas moins de 6 joueurs en convalescence dont le genevois Kevin Bua, auteur de 4 buts et 6 assists en 19 rencontres, et le milieu central Luca Zuffi.

Avec un contrat qui expire en fin de saison et qui ne sera reconduit qu’en cas de titre, l’ancien joueur de Grasshoper, Marcel Koller, sait très bien que ses jours sont comptés. Ces deux prochains rendez-vous de la semaine vont donc s’avérer plus que décisif pour la suite de sa carrière, lui qui se retrouve dans une position instable, bien que le FC Bâle soit le dernier représentant suisse sur la scène européenne et que son club soit encore en course en Coupe de Suisse, cette 3ème place en championnat fait tâche. Il faut remonter à la saison 1997-1998 pour voir un FC Bâle cumuler 4 défaites lors de ses 5 derniers matches et à l’époque c’était un certain…Guy Mathez qui était sur le banc rhénan.

Le FC Bâle ne semble plus aussi intouchable qu’auparavant. Vérification ce dimanche ?
Tableau noir : Servette FC – FC Zürich

Tableau noir : Servette FC – FC Zürich

Introduction

Les Grenat sortaient d’une défaite amère face au surprenant leader St-Gall lors duquel les joueurs avaient loupé des montagnes. L’équipe étonne tout de même dans ce championnat en tant que promu et démontre qu’elle détient les armes pour tenir une cadence digne d’un champion. Zurich lui, n’avait plus perdu depuis septembre à l’extérieur et gardait le 0-5 au Letzigrund en travers de la gorge.

Le système

Geiger opte pour un 4-4-2 sur le papier avec Kyei et Tasar en pointe. Néanmoins, sur le terrain l’équipe évoluait plutôt en 4-2-3-1 avec Tasar sur l’aile gauche et Cognat en 10.

L’analyse

« On savait que le bloque Zurichois allait jouer assez haut donc on a plongé dans le dos de la défense ». Ces propos tenus par Geiger en conférence d’après-match résument bien le match des servettiens.

Effectivement, ce match le confirme définitivement : Geiger ne privilégie pas la possession, mais le jeu en transition rapide. 8 contre-attaques contre 0. Désormais, l’équipe porte un véritable ADN qu’elle a pris du temps à trouver, mais qui fonctionne très bien depuis quelques temps. Servette a largement dominé la rencontre dans tous les compartiments dirons-nous. En réalité, la possession était étonnement zurichoise (55%), mais le nombre de tirs (20) et tirs cadrés (12), les grandes chances (11), et les occasions manquées (7) sont en faveur des Grenat.

Le moment clé du match : Lors du 1-1 concédé à la 64e beaucoup d’équipes se seraient contentées du nul et auraient reculé. Pourtant, 3 min après l’équipe reprend l’avantage. C’est un état d’esprit courageux qui est tout à l’honneur de Geiger et ses joueurs. Le paradoxe de chercher constamment de jouer vers l’avant c’est d’être également la meilleure défense du championnat avec 21 buts concédés.

Sir Miroslav Stevanovic et Koné

La stat insolite : 7 grosses occasions créés. D’après SofaScore, c’est la première fois depuis 2015-2016 qu’un joueur atteint ce chiffre lors d’une rencontre. Miroslav Stevanovic le meilleur passeur (11) du championnat l’a fait ce qui lui vaudra, entre autres, la superbe note de 9,7/10, qui est d’ailleurs la meilleure note de la saison attribuée sur le site pour Servette. Il aura eu, comme souvent, une grande activité sur son aile droite comme le montre le schéma.

Là où Koné surprend c’est qu’il réussit souvent à se créer admirablement des occasions, mais peine à les concrétiser quand elles lui sont offertes. Un manque de confiance où un manque de talent ? La question mérite d’être posée. Toujours est-il qu’il répond de la meilleure des manières en marquant un triplé en 25 minutes de jeu. La stat : 3/5 duels aériens remportés. Du haut de ses 1m79, c’est un joueur bénéficiant d’un jeu de tête redoutable permettant de jouer en remise avec ses coéquipiers ou alors de marquer comme pour 2 de ses 3 buts autour de défenseurs bien plus grand que lui.

Toutes les images sont tirées du site sofascore.com

Servette FC – FC Zürich 4-1 (1-0) : podium en vue

Servette FC – FC Zürich 4-1 (1-0) : podium en vue

25 septembre 2019 : c’est la date de la dernière défaite à l’extérieur. Ce jour-là, les hommes de Ludovic Magnin avaient déjà concédés quatre buts du côté du Parc Saint-Jacques, théâtre du prochain déplacement des Grenat le 23 février prochain. C’est donc un adversaire coriace qui se présente sur le pré du Stade de Genève pour récupérer la quatrième place.

Un début de match avec des occasions de deux cotés jusqu’à l’ouverture du score avant le quart du match par Servette. Les genevois vont avoir les opportunités pour doubler la mise, tout comme le FCZ qui loupera une grosse occasion mais le score n’évoluera pas jusqu’à la pause. Bis repetita au retour des vestiaires ou les coéquipiers de Steve Rouiller vont pêcher à la finition dans les premières dix minutes du deuxième acte.

Puis Zürich va reprendre un peu le cours du match et à parvenir à égaliser peu après l’heure de jeu. Pendant que Tosin célébrait avec ses coéquipiers, le SFC effectuait son premier remplacement quasiment dans l’indifférence et pourtant, ce changement allait changer le cours de la rencontre. La suite, inutile de tout raconter : score final 4-1, triplé de Koné et Servette qui revient à 3 petits points du FC Bâle et de la troisième place.

Du soleil, une bonne ambiance et une victoire servettienne : que demande le peuple ? (Crédits : au-stade.fr)

Les notes

Frick : 6,5

Très peu mis à contribution, il a su répondre présent quand il le fallait, notamment au quart d’heure de jeu face à Mahi alors que le score était encore nul et vierge.

Sauthier : 7,5

Au four et au moulin pendant 90 minutes, il s’est montré impérial sur son flanc droit que ce soit en défense comme en attaque. Benjamin Kololli doit encore faire des cauchemars.

Rouiller : 7,5

Grosse frayeur quand le natif de Monthey a dû sortir pour cause de saignement à la tête. Un pose de bandage plus tard, il est de retour pour montrer qui est le patron.

Sasso : 7

Comme d’habitude, toujours en place et en maîtrise.

Iapichino : 5,5

Correcte offensivement, il a eu de la peine pour défendre avec notamment beaucoup de pertes de balles qui auraient pu coûter cher.

Cespedes : 6

Un peu en-dessous de ses comparses au milieu de terrain.

Ondoua : 7

Très sérieux à mi-terrain avec de nombreuses interventions et une présence dans les phases offensives qui a bien aidé ses compères d’attaque.

Stevanovic : 10

Un triplé pour lui aussi, avec 3 caviars distillés. Une statistique qui montre la qualité de son match : il a réussi à faire 9 passes clés (passes avant un tir) et aurait pu finir la rencontre avec plus d’assists si la finition était au rende-vous.

Tasar : 7

Énormément de percussion mais un peu trop de gâchis. Il pensait inscrire son but mais l’arbitre-assistant en a décidé

Cognat : 8

De retour au poste qu’il occupait la saison dernière, il a été tout simplement épatant et a eu une grosse débauche d’énergie dans cette rencontre. Une possibilité de le voir à ce poste pour cette fin de saison ?

Kyei : 7

Une deuxième réalisation cette saison pour l’ex-rémois, qui a eu par la suite la possibilité d’enfoncer le clou mais sans succès.

Koné : 10

Pas vraiment une surprise de le voir avec la note suprême, n’est-ce pas ?

Imeri : Bonus

Une entrée avec une grand envie voir même un peu trop, ce qui lui a valu un jaune stupide.

Alves : non-noté

Trop peu de temps de jeu pour être noté.

Servette FC-FC Zürich : Place à la revanche zurichoise ?

Servette FC-FC Zürich : Place à la revanche zurichoise ?

Les Zurichois se déplacent en terre genevoise afin de prendre leur revanche sur le Servette FC ce dimanche 16 février et effacer la claque reçue devant leur public lors du 5-0. Afin de refaire le plein de confiance, ils se doivent à tout prix ramener les 3 points de ce long déplacement au bout du Lac de Genève.

La rencontre :

Les servettiens ont connus leur premier coup d’arrêt de l’année lors de cette maigre défaite concédée sur la pelouse du kybunpark. Alors qu’ils ont pourtant inscrits 32 buts, ce qui en fait la 4ème attaque du pays, les supporters ont pu véritablement apercevoir le manque de réalisme de l’attaque servetienne. Seulement 8 tirs sur la cage de Zigi, dont 4 cadrés, ont eu raison de l’équipe d’Alain Geiger qui enchaine un douzième match consécutif sans victoire face aux Brodeurs.

Lors des cinq dernières oppositions entre servettiens et zurichois, on arrive à un score de parité avec deux victoires ce chaque côté et un match nul. Les Zurichois s’étaient imposés lors du dernier match à la Praille sur le score de 1 but à 0 par l’intermédiaire d’Antonio Marchesano, auteur de 4 buts et 5 assists en 19 rencontres cette saison. Pourtant, les Grenat se doivent de garder en tête leur éclatante victoire sur la pelouse du Letzigrund et le fameux premier hat-trick du coréen Jung-Bin Park. Koro Koné et Boris Cespedes avaient aussi ajouté leurs noms aux buteurs et Servette était reparti du Letzigrund avec une belle victoire 5-0.

L’autre enjeu de cette rencontre sera la quatrième place car le FCZ, avec 31 points au compteur, talonne les Grenat qui sont deux points devant leur adversaire du jour. Cette place au pied du podium pourrait être qualificative pour l’Europa League si Bâle ou YB venait à remporter la Coupe de Suisse. Si cela se produisait, le titulaire de cette place aurait le redoutable honneur de pouvoir peut-être affronter le redoutable 2e du Championnat d’Andorre au 1er tour qualificatif de la C3.

Marchesano et Mahi célébrant la seule réussite lors de la dernière rencontre entre les deux équipes à la Praille.

L’adversaire :

Comment pourrait-on décrire le parcours du club du bord de la Limmat ? Le terme de montagnes russes semble être le plus adapté tant les hommes de Ludovic Magnin sont capables du meilleur (deux victoires face au leader saint-gallois ainsi qu’une autre face au FC Bâle) comme du pire, avec trois lourdes défaites à la maison face à YB (0-4), Lugano (0-4) et enfin Servette (0-5 comme mentionné plus haut). On peut confirmer cela en regardant leurs statistiques au classement : 9 victoires, 4 matchs nuls et 8 défaites. Leurs lourdes défaites à la maison ont un gros impact sur leur goal-average car avec 40 buts encaissés, les joueurs du président Canepa sont la deuxième pire défense de Super League derrière la lanterne rouge thounoise.

Néanmoins, c’est un tout autre discours lorsque Zuri joue à l’extérieur : en 10 matchs disputés hors de ses bases, le club fondé par Hans Gamper a inscrit seulement 8 buts (pire attaque à l’extérieur du championnat) mais est la deuxième défense loin de son terrain avec 13 buts encaissés, à égalité avec le FCB. Avec 4 victoires, 3 scores de parité et 3 défaites, c’est donc une équipe pragmatique et cherche à garder le résultat qui va se présenter sur le pré en ce dernier dimanche de vacances d’hiver. Il faudra être très vigilant entre la 30e et la 45e minute car c’est la période ou Zurich score le plus souvent avec 8 réalisations. En revanche, le SFC se devra d’exploiter les brèches dans la défense zurichoise au cours du dernier quart d’heure car le FCZ a encaissé pas moins de 12 buts au cours de cette période.

Pour ce déplacement du côté de la Praille, les zurichois seront privés de Marco Schönbächler, co-meilleur buteur de l’équipe avec Blaz Kramer avec 7 buts, ainsi que de l’ex-servettien Nathan qui seront tous deux suspendus. L’actuel poursuivant a vu arriver en prêt en provenance d’Augsbourg le défenseur danois Mads Pedersen qui n’a joué que deux matchs cette saison et celle de Michael Kempter qui est quant à lui promu en première équipe. Au niveau des départs, on peut noter celles d’Assan Ceesay, parti en Bundesliga 2, et Denis Popovic qui s’en est allé du côté de la patrie de Vladimir Poutine.

Jung-Bin Park, le héros de la manita de décembre, nous refera-t-il le même coup dimanche ?