Stupeur dans les coulisses du Servette FCCF puisque Sandy Maendly n’est plus directrice sportive du club. Et ce à quelques heures du dernier match du championnat avant la pause hivernale.
Vendredi après-midi, un communiqué de presse a assombri le ciel grenat. En quelques lignes, et sans grandes d’explications des raisons du débarquement de Sandy Maendly, il était compris que le mariage entre l’ex-internationale suisse et le club genevois était terminé.
« Le Servette FCCF et Sandy Maendly se disent au revoir. Au club depuis janvier 2018, tout d’abord comme joueuse, puis dans les rôles de coordinatrice sportive et directrice sportive, Sandy Maendly quitte le club. »
À regrets…
Une Servettienne exemplaire
Sandy Maendly est un monument du Servette FCCF. Revenue à Genève avec des expériences européennes dans ses bagages (Italie, Espagne), elle a su, en bonne capitaine, mener la barque grenat pour l’amener vers le titre tant attendu de Champion Suisse en 2021.
Dans l’organigramme du club, elle aura aussi contribué à ramener la Coupe de Suisse en 2023 et 2024 en plus d’un championnat (2024). Sans compter des participations en Champion’s League en tant que joueuse et responsable au club.
Servettiens.ch souhaite exprimer sa reconnaissance envers le travail effectué par Sandy Maendly au sein du Servette FCCF. En tant que joueuse puis dirigeante, elle aura su donner vie au football féminin et porter haut ses belles valeurs. Merci!
Mais visiblement cette séparation ne s’est pas faite à l’amiable, rappelant le sort d’un certain Philippe Senderos en 2023, directeur sportif à l’époque au sein du Servette FC.
Une autre version dévoilée sur les réseaux sociaux
Dans la foulée du communiqué, Sandy Maendly a souhaité réagir sur les réseaux sociaux et « rectifier ce qui a été dit ».
Elle précise: «Ceux qui me connaissent comprendront qu’il n’était pas de ma volonté d’abandonner l’équipe à la veille de son dernier match du premier tour. C’est en effet avec étonnement que j’ai été remerciée cette après-midi par ma direction avec effet immédiat. Loin de moi d’envenimer la situation, je tenais cependant à la clarifier, compte-tenu des nombreux messages déjà reçus. J’accepte cette décision du Servette FCCF, bien que je peine à comprendre sa forme et ses raisons. »
Mercredi soir, nous étions chaleureusement invité au Cinéma Bio pour assister en avant-première à la série Renaissance, réalisée par deux jeunes réalisateurs genevois: Dylan Taher et Léo Wadimoff.
Film produit par AKKA Films et diffusé hebdomadairement à partir du lundi 2 décembre 2024 sur Blue Sport, cette serie de 4 épisodes retrace la glorieuse saison 2023/2024 du Servette FC.
Le documentaire plonge au sein du vestiaire grenat et des coulisses et nous fait vivre de différents point de vue, les étapes clés de la saison.
Les réalisateurs semblent avoir réussi à retransmettre les émotions vécues par les différents acteurs. En guise de conclusion à la série, la victoire en finale de Coupe de Suisse, dans une séance de tirs au buts interminable contre Lugano, marque le paroxysme d’un travail acharné du club dans cette renaissance.
Une série que nous vous recommandons donc vivement. À suivre sur Blue Sport pour les abonnés ou sur Youtube par la suite.
Après sa victoire en finale des playoffs dimanche, Sandrine Mauron a reçu une belle nouvelle: elle été rappelée en urgence pour renforcer l’équipe nationale.
Ce vendredi à Bienne, la Nati affrontera la Hongrie dans un match comptant pour les éliminatoires de l’Euro 2025 (la Suisse est déjà qualifiée en tant que pays hôte). Initialement réserviste, la Vaudoise remplace au pied levé Aurélie Csillag (FC Bâle), forfait de dernière minute.
Cette convocation redonne confiance à la milieu de terrain du Servette FCCF, qui doit faire ses preuves sous la direction de l’entraîneuse Pia Sundhage.
Excellente lors de la finale des play-offs face au FC Zürich (elle a marqué le premier but ), l’internationale suisse avait déjà été conviée au camp de Marbella en février mais n’avait pas été retenue pour les premiers matchs de la campagne de qualification.
Cette nouvelle opportunité pour Sandrine Mauron souligne son importance à Servette, mais aussi en équipe de Suisse. Bravo à elle !
Entre déboires administratifs et mauvaise gestion de la pelouse, les dirigeants Grenat savaient que la gestion n’était pas leur fort. Depuis quelques mois, quelques clubs ont, alors, œuvré en coulisses en collaboration étroite avec OpenAI pour construire ce qu’ils ont nommé : FRO (Football Research Organisation) Use.
Ce n’est un secret pour personne, l’intelligence artificielle a explosé ces dernières années avec l’essor de nombreuses companies dont notamment OpenAI, connu pour le très célèbre Chat GPT. Ces algorithmes permettent de trouver des solutions très efficaces à nos problèmes en un rien de temps. Si l’on pensait avoir tout vu, de la production d’images ou de vidéos plus vraie que nature plus récemment, on n’y voyait pas encore de rapprochement avec le milieu du sport.
Pourtant en juin 2023, l’UEFA rédige un document nommé “The Risk and the Necessity of Artificial Intelligence on Modern Football”. Cet article explore un large panel de solutions qui seraient vivement encouragées dont notamment tout un chapitre qui expliquerait pourquoi l’IA est une bonne alternative pour éviter les failles d’une administration humaine. Si cette publication ne fait l’effet que d’un pavé dans la mare dans la sphère footballistique, elle a eu des échos aux alentours de Nyon, siège social de l’UEFA, puisque le club du Servette FC, à Genève, s’y est penché concrètement.
En effet, le club grenat cette saison a fait face à un soucis administratif qui a résulté sur la non-qualification de deux joueurs qui sont Rekik et Ndiaye. Un problème qui n’aurait pas eu lieu si ce mail, tant important pour la SFL, ne dépendait pas d’un seul être humain mais d’un robot sans faille. De plus, au courant du mois de mars, le club annonce que Thierry Regenass ne serait plus le président car cette fonction je cite: ” (…) requiert une disponibilité importante.” (Site du Servette FC). Et si le club conclut son communiqué par : “Thierry Regenass et le Servette FC ne feront aucune autre déclaration à ce sujet.” (ibid.) , cela est bien car le club ne voulait pas dire qu’il avait confié ce poste de président à non pas quelqu’un d’autre, mais à un logiciel, un robot, OpenAI. Car oui, depuis 3 mois déjà, Servette et trois autres clubs dont l’on ignore encore les noms se sont entretenus individuellement avec Sam Altman. Plusieurs décisions ont été prise dont une étroite collaboration qui résulterait sur la gestion intégrale du clubs par les Américains.
Ce nouveau logiciel, qui coûterait moins cher et qui prendrait le travail de plusieurs Genevois au sein du club a été nommé FRO-use.
Si l’ensemble des décisions sont encore entre quatre murs, certaines ont déjà fuité:
-Les mails ainsi que la gestion du calendrier est remis à l’Intelligence artificielle. Finis ainsi les spams qui empêcheront de voir par exemple un mail nommé : “URGENT: 7e rappel pour la qualification de tes joueurs/ SERVETTE IL NE RESTE PLUS QUE VOUS”
-Une meilleure gestion de la pelouse grâce à WeatherAI, qui permet aux jardiniers de savoir à la minute près qu’il faudrait peut-être arrêter d’employer des joueurs du FC Coheran pour l’entretien de la pelouse vu l’état de la leur.
-Une routine appliquée à la lettre pour les joueurs et le staff. Fini le second service à la cantine, fini les virées au Village du Soir, fini les écrans après 22h.
-Certains joueurs devront améliorer leur points faibles par des séances intensives. Stevanovic a donc congé jusqu’à la fin de la saison.
Curling le jeudi matin, cours de flûtes pour les M21 et concours de pile ou face à la comm’ pour savoir qui travaille chaque jour sont prévus pour redynamiser l’ensemble du club et de sa cohésion. Si certains sont déjà emballés d’autres se révoltent déjà, car en passant aux alentours des bureaux hier on entendait déjà : “Marre des FRO-use”.
Le partenariat est officiel dès aujourd’hui, le 1er avril. Si avec l’IA il faut faire de plus en plus attention avec ce qu’on voit, n’oubliez pas qu’en ce jour, les journalistes eux aussi, écrivent n’importe quoi.
Attaquant du FC Lorient, le Sénégalais de 21 ans devrait rejoindre aujourd’hui les Grenat en prêt avec option d’achat.
C’est le quotidien Ouest France, reprenant une information de RMC, qui a confirmé la rumeur de départ du jeune l’orientais. Avec les Merlus, Bassirou N’diaye aura disputé cinq matchs de Ligue 1 pour aucun but cette saison. Toutefois, cet homme de 180 cm s’était illustré auparavant dans la réserve du club breton, mais également avec la réserve du FC Sochaux (23 buts en National 3).
Les dernières infos mercato de Servette: Rekik et Ndiaye seront prêtés avec option d'achat, alors que Rrudhani et Bouzamoucha ne viendront pas.
Mais les Grenat restent actifs et souhaitent encore un attaquant et un milieu.
Une option d’achat, “raisonnable” pour le club, est évoquée par Valentin Schnorhk et Daniel Visentini de La Tribune de Genève. Les journalistes évoquent cette possibilité d’acheter le joueur durant son prêt de six mois, tout comme Omar Rekik qui devrait arriver lui aussi aujourd’hui d’Arsenal.
Le mercato servettien s’active, avec encore quelques arrivées prévues ! Et il y a urgence puisque l’enregistrement pour la Conférence League se termine ce soir à minuit.
Le défenseur central, international tunisien, se serait engagé en prêt avec Servette. Il vient des M21 d’Arsenal.
Le prometteur arrière de 22 ans était prêté les six derniers mois au Wigan Athletic FC. Ce longiligne joueur de 186 centimètres n’aura pas fait long feu chez le pensionnaire de League One anglaise (10 apparitions en championnat).
D’après plusieurs sources, dont London World, il devrait rejoindre Servette pour les 6 prochains mois. Auparavant, le frère de Karim Rekik avait transité par les centres de formations de Manchester City, du PSV, de Marseille, du Hertha Berlin avant d’atterrir en 2021 à Arsenal.
Le dernier prêt d’un défenseur central au Servette était Onguene… en espérant que le natif d’Helmond aux Pays-Bas puisse s’imposer un peu plus que le joueur de Francfort.