Erlinsbach mais surtout les BSC Young Boys, actuellement troisièmes de Super League sont déjà tombés au combat contre le Servette FC Chênois Féminin. Cette fois-ci, c’est le FC Zürich qui croisera la route du club genevois afin de les empêcher d’atteindre les demi-finales. Le dauphin du Servette FCCF ne se laissera clairement pas éliminer aussi facilement ce samedi dès 18 heures…
Un club difficile à abattre
Cette saison, l’avantage est du côté de Zürich avec deux victoires à chaque fois sur le même score de 2-1. La première le 5 septembre, lors de la cinquième journée, puis la seconde la semaine passée à Genève, une nouvelle fois sur le score de 2-1 et ce alors que le club grenat menait à chaque fois à la marque. Heureusement, le 5 décembre, l’affront fut lavé avec une belle victoire genevoise au stade de Genève grâce à Marta Peiro puis Léonie Fleury à la 96ème. Cependant, Servette a également un antécédent avec le club zurichois lors de la Coupe de Suisse. Alors que les Grenat évoluaient en LNB lors de la saison 2017-2018, elles réalisent un splendide parcours en coupe en éliminant Young boys 7-6 aux pénaltys lors des huitièmes de finale puis Lucerne (5-0) au tour suivant avec un doublé de Yasmina Laaroussi et Sandy Maendly. Vinrent alors les demi-finales et la rencontre contre le champion de Suisse en titre, l’ogre zurichois. Malgré l’ouverture du score zurichoise à la 13ème minute, Servette réagit très bien par l’intermédiaire de Sandy Maendly puis Yasmina Laaroussi juste avant la pause. Malheureusement, Zürich est bien un cran au-dessus et revient au score via Cinzia Zehnder, qui évolue désormais au Bayern Munich, puis juste après la sortie de Laaroussi, le coup de massue tombe avec la réalisation de Caroline Abbé, passée désormais de l’autre côté et comme l’explique sa coéquipière Laaroussi : « Caro c’est une machine, du coup c’est sûr que c’est un atout majeur dans l’équipe». La saison passée, les genevoises devaient à nouveau retrouver cet adversaire en demie, malheureusement la rencontre n’aura jamais lieu suite à l’arrêt des compétions lié à la crise du coronavirus, « une décision pas toujours simple à accepter, on aurait pu accomplir de belles choses mais c’est le jeu, la santé avant tout et puis de toute façon on fait encore mieux cette saison, donc c’est fantastique. »
“cette défaite a eu l’effet d’un électrochoc pour nous”
Focus sur Yasmina Laaroussi
La genevoise de 27 a commencé le football à l’âge de 11 ans du côté de Bernex, club dans lequel elle restera jusqu’à ses 20 ans. Finalement, elle décide de faire le grand saut et voir un peu plus haut que la deuxième ligue en rejoignant Chênois et la ligue Nationale B. 2 ans plus tard, le club fusionne avec Servette et elle est de l’aventure avec la montée en LNA mais également la première participation à la Champions league.
Après une longue blessure qui l’a tenu longtemps éloignée des terrains la saison passée ainsi qu’un faible temps de jeu cette saison, huit petites minutes contre St. Gall, elle a reçu en février une convocation avec la sélection marocaine. Une situation assez particulière pour la joueuse qui nous confie : « Je mentirais si je disais que ça n’affectait pas mon moral, après l’important c’est de se poser les bonnes questions et surtout de ne rien lâcher, toujours se donner à fond à l’entraînement comme ça on a zéro regret. » Et c’est bien dans cette optique qu’elle s’engage en travaillant son exigence technique et tactique afin de revenir au plus vite dans la rotation de l’entraîneur Éric Séverac, même si cela vient bien sûr également avec du temps de jeu mais malgré tout elle absorbe tout ce qui est possible à l’entraînement en compagnie des titulaires.
“Un gros sourire qui s’affiche”
En dehors du football, Yasmina Laaroussi a obtenu l’année passée son Master en psychologie, un domaine qui devient de plus en plus important dans tous les sports et c’est ce qui fait sans doute la différence entre un bon et un très bon sportif. Même s’il s’agit de quelque chose de primordial, il est impossible de jouer correctement ensemble s’il n’y a aucune entente dans le vestiaire. Hormis de s’entraîner intensivement, il est important de renforcer cet esprit d’équipe, car c’est avec cela qu’une équipe sera encore plus performante.
“Si dans la tête ça ne suit pas…”
Servette tentera de continuer cette incroyable saison avec une accession en demi-finale et ainsi jouer sur les deux tableaux que sont la coupe et le championnat. Tous unis derrière nos servettiennes ce samedi en regardant le match en direct, à retrouver sur Servettiens.ch.
Le directeur administratif du club grenat évoque l’avenir avec le retour partiel des spectateurs : “il en va de la survie et de la pérennité du football suisse”.
38% de possession de balle, huit tirs pour cinq buts : voici les stats d’une équipe sédunoise, lanterne rouge comme Vaduz le 21 mars dernier, venue d’imposer en terres genevoises en profitant des errances d’une défense servettienne dépassée.
Les 100 spectateurs, qui espéraient tous un succès de Servette, sont restés médusés sur l’ouverture du score valaisanne. Impuissants face à la défense adverse, les Grenat vont revenir à la marque juste avant la pause. Lancés vers la victoire ? Les espoirs seront douchés avec deux buts des visiteurs avant l’heure de jeu avec l’aide de la défense. Les Genevois vont ensuite débuter une véritable partie de ping-pong (réduction du score puis break adverse) avant que Tosetti ne conclut la balle de mathc à 5-3, provoquant une joie orgasmique de Barthélémy ”Ademo” Constantin. Dix buts en deux rencontres, espérons que la défense ne passe pas à quinze ce dimanche à Lugano…
Les notes des Grenat
Jérémy Frick : 4
Un seul arrêt effectué en 90 minutes mais cinq buts dans la musette au coup de sifflet final… On pourra peut-être lui reprocher de ne pas boucher son angle sur le 3-5.
Moussa Diallo : 4
Fautif sur le 0-1 en jugeant mal la trajectoire du ballon, le numéro 7 a bien tenté offensivement mais laissant des ouvertures derrière. Il laisse sa place à Boubacar Fofana, impliqué sur le deuxième but genevois et qui n’a pas manqué le coche en inscrivant le troisième.
Steve Rouiller : 4
Malgré de la bonne volonté, il n’a pas été dans le coup notamment au niveau des alignement défensifs qui ont coûté les deux premiers buts.
Vincent Sasso : 3
Trois occasions gâchées qui auraient pu changer le cours de la rencontre et quelques approximations au niveau de la défense. On notera que c’est tout de même lui effectue l’assist pour le 2-3.
Yohan Séverin : 3
Il retrouvait sa place de Challenge League et on ne peut pas dire que sa position de latéral nous avait manqué. Peu de montées offensives concluantes et des gros soucis de repli défensif qui ont coûté, notamment sur le goal de Tosetti.
Gaël Ondoua : 4
Pas dans le rythme et pas dans son match, le milieu a cédé sa place à Kastriot Imeri qui a amené e la fraîcheur et des idées, en vain malheureusement.
Timothé Cognat : 5
L’homme aux dix poumons aura une nouvelle fois multiplié les courses et les raids solitaires, il s’est cassé les dents sur la défense adverse et par une fois sur Fickentscher. Une grosse inquiétude au moment de sa sortie pour Alexis Martial car il se tenait la cuisse.
Théo Valls : 4
Face à un XI valaisan bien en place, Théo n’a pu trouver des solutions pour dicter le jeu et le tempo face au bloc adverse.
Miroslav Stevanovic : 5
Une ouverture lumineuse sur le but de l’égalisation et une grosse combativité habituelle en première période. Replacé en latéral droit, il s’est éteint par la suite et a été dépassé par les événements.
Alex Schalk : 7
Il aura trouvé la faille à deux reprises dans cette partie et a semblé à l’aise sur le terrain. Il sort de façon surprenante pour Ricardo Alves.
Grejohn Kyei : 7
Sa sortie pour Koro Koné a surpris tout le monde tant il fut un poison pour les défenseurs sédunois, la preuve avec ses deux passes décisives.
Devant un très petit public, le Servette FC tentera d’accrocher la victoire dans ce Derby du Rhône dont l’importance est capitale après la lourde défaite en terres bâloises le week-end passé. Dans la lutte à la deuxième place, chaque point compte mais toute victoire est primordiale et ce encore plus lorsqu’il s’agit d’un derby…
Reprendre du poil de la bête
Un seul mot d’ordre en ce lundi : « ne pas baisser les bras ». Certes notre équipe a subi une lourde défaite mais quand on voit le parcours de ce Servette FC lors des vingt dernières années, on ne peut être que fier de les voir occuper la troisième place de Super League, à seulement une unité de l’ancien ogre bâlois, ainsi que ce ticket pour les demi-finales face à St. Gall en poche. L’accumulation des matchs, avec plus de 4 rencontres dont trois en déplacement en l’espace de sept jours, ont eu raison de l’organisme genevois. Désormais, le Servette FC a quatre jours pour récupérer et entamer cette nouvelle semaine des ennemis/amis avec la réception du cirque Constantin en direct du Stade de Genève jeudi à 18:15 puis le déplacement sous le soleil Luganais dimanche. Plus que sept matches et un mois les séparent de la fin du championnat et la course à l’Europe est plus que lancée. Avant deux matchs des plus compliqués (Lugano et YB), la troupe d’Alain Geiger va devoir empocher les trois points face à la lanterne rouge, le FC Sion, afin de pouvoir dépasser le FC Bâle qui se déplace à Vaduz mercredi soir et par la même occasion plonger un peu plus le club valaisan dans les bras de la Challenge League et les belles prairies de Kriens, Wil ou Neuchâtel. Cependant, Alain Geiger devra compter sur l’absence d’Anthony Sauthier suspendu deux matches suite à une faute grossière le week-end dernier mais pourra compter sur le retour de Yoan Severin qui a purgé sa peine. Au sein d’une interview accordée à Servettiens.ch, Justin Grept (journaliste chez Rhône FM) nous dit que : « Servette est aussi une bête un peu blessée après la fessée au Parc Saint-Jacques dimanche et cela sera intéressant de voir les forces en présences et la dynamique des premières minutes de cette rencontre ».
Sion, une âme en peine
Il reste sept matches au FC Sion pour tenter un impossible sauvetage auquel plus personne n’y croit, à commencer par les joueurs eux-mêmes. Comme le dit Justin Grept : « C’est le candidat numéro 1 à la relégation, ils rêvent de l’espoir mais c’est assez inédit de voir le FC Sion en si grande difficulté ». Tout comme leurs amis Chiasso, ils réussissent chaque année à se sauver mais il semblerait que cette saison soit peut-être enfin la bonne pour voir ces deux clubs, aussi inutiles que l’European Super League, descendre d’un échelon et découvrir les joies des ligues inférieures. Cependant, le club valaisan n’en est pas à sa première mauvaise situation. En effet, il y a trois ans, les hommes de Jacobacci, désormais à Lugano, étaient alors déjà lanterne rouge à sept matches de la fin et étaient parvenus à terminer le championnat par une série de trois victoires (Grasshoper, Saint-Gall et Thoune) pour finalement décrocher un très inattendu 6ème rang final. Ce miracle avait un nom, Matheus Cunha. L’attaquant de 21 ans s’était révélé lors de la deuxième partie de la saison en inscrivant surtout un triplé lors du dernier match de la saison, avant d’être transféré à Leipzig pour un montant record de 15 millions d’euros, désormais il porte les couleurs du Herta Berlin avec qui il a inscrit 13 buts en 38 matches depuis Janvier 2020. Trois ans plus tard, cet homme-là n’est plus là. Malgré la signature de joueurs en pré-retraite tel un Hoarau ou Tosetti qui étaient sensés briller du côté de Tourbillon, rien n’y fait et le joueur providentiel semble attendre. De plus, Sion ne pourra pas compter sur la présence du jeune brésilien Wesley, auteur d’un très bon début de deuxième partie de saison, ou également Ayoub Abdellaoui un des piliers de la défense valaisanne (23 titularisations), ainsi que Serey Dié toujours bloqué en Afrique suite à sa contamination au Covid : « Quand ton capitaine manque, c’est un manque qui pèse et le FC Sion n’est donc clairement pas au complet » affirme le journaliste de Rhône FM.
L’entretien complet avec Justin Grept à retrouver ci-dessous ⬇️
Dans un derby dont la victoire est toujours aussi primordiale, le Servette FC tentera de décrocher une seconde victoire de suite face au FC Sion et ainsi continuer la course à l’Europe, pendant que Constantin et Cie tenteront de sauver leur peau. Come on Servette !
En ce merveilleux dimanche 18 avril 2021 nos gaillards se déplacent du côté du Parc St-Jacques pour y affronter le club préféré d’une grosse boite pharmaceutique dont nous tairons le nom. Depuis ces 22 dernières années, le bilan de victoires du côté Servettien à Bâle est assez impressionnant vu que nous n’avons jamais gagné là-bas. Ce genre de statistique fait toujours plaisir car nous gagnons du temps pour vous écrire des articles plutôt qu’à faire un bilan statistiques.
En cas de nul ou de défaite, et avec une victoire d’YB, les Bernois se verront déclarés champions suisses pour la 4ème année consécutive. Par soucis de fierté (chaque Genevois se reconnaîtra.) je ne voulais pas donner cette chance aux oursons de célébrer leur titre. À 7 journées et avec 20 points de retard sur le numéro un, arriverons-nous à enfin gagner à Bâle, à retarder le sacre bernois mais surtout réussirons-nous à rester sur cette série de deux victoires en coupe et une en championnat ?
Pas du tout ! Après seulement 8 minutes de jeu, nous voilà menés de 3 à 0. Oui oui, 3 à 0. Quand il s’agit de s’approprier des records historiques il n’y a plus personne, mais quand il s’agit d’inscrire son nom dans la catégorie « je suis l’équipe ayant encaissé 3 goals le plus rapidement dès l’entame du match » là il y a du monde mais c’est pour ça que j’aime mon Servette. À jamais dans la légende ! Après tout ce que tu as fait Jeremy, après t’avoir élevé au rang de demi-dieux, en t’ayant placé au-dessus du soleil, tu me fais remarquer que finalement, tu n’es qu’un simple humain…
Responsable sur le 3ème goal marqué par van Wolfswinkel, tu illustres parfaitement l’expression que « l’erreur est humaine ». Moi qui pensais que tu étais au-dessus de la race humaine me voilà attristé. Ce qui m’attriste également beaucoup plus ce sont les pieds de Nicolas Vouilloz. Garçon, à moins que tu chausses du 58, je ne comprends pas pourquoi ton foutu peton traînait aussi loin ?! Avec tes palmes tu offres le premier penalty aux Bâlois qui sera transformé par Frei.
Petite dédicace à tous ceux qui pensent que nous avons perdu à cause de l’arbitrage et que le rouge de notre capitaine Sauthier n’était pas justifié… Je vous vois comme ceux qui clament haut et fort que les antennes 5G sont la cause du COVID et que les vaccins sont uniquement là pour nous injecter des puces. Pour vous, je vous souhaite que vous ne buviez que de la bière sans alcool pour le restant de vos jours. Sinon Gaël, explique-moi ton geste défensif sur le 2ème but marqué par Kasami, je t’ai vu plonger, mais pour quoi faire ? Enfin, explique moi ce qui t’a traversé l’esprit, je ne comprends toujours pas quel était le but premier de cet acte.
Sauthier à la traîne dans ce match se fera donc expulser à la 34ème minute. Meilleur fait de match pour notre capitaine qui aura porté ses fruits. En effet après son exclusion du jeu, nous n’avons encaissé que 2 goals sur 60 minutes de jeu. La direction du SFC demande à la Ligue de pouvoir jouer à 10 dorénavant. Mention spéciale à Fofana qui une fois de plus nous aura montré sa lucidité devant la cage en tirant plein centre sur le gardien Lindner. Merci Jeremy des quelques parades en deuxième mi-temps qui nous évitent d’encaisser encore 3 – 4 goals et de repartir de Bâle avec un score honteux. Finalement, Sasso laissera lui aussi traîner sa jambe dans la surface et accordera un second penalty au BigPharma FC. Décidément, ce brassard de capitaine porte malheur.
Sans rancune les gars. Nos copains du hockey appellent ça un « 5-0 canette ». Buvez-en une (et offrez-en une à tous ceux qui ont regardé ce match jusqu’au bout aussi) et concentrez-vous sur le prochain match. Nous recevons le FC Ch*on au Stade de G’nève et c’est une occasion parfaite pour renouer avec la victoire et enfoncer ces pratiquants d’inceste encore plus bas dans le classement.
Une claque, une véritable claque : c’est ce qu’ont encaissé les Servettiens ce dimanche du côté du Parc Saint-Jacques, citadelle maudite pour les Grenat, Un revers lourd et cinglant, conséquence d’une entame de match abominable.
On n’avait plus vu cela depuis mai 2014 en Raiffeisen Super League : une équipe encaissant trois buts en neuf minutes. C’est la grosse mésaventure qu’a vécu Servette ce dimanche avec cette entame catastrophique qui a tué le match après dix minutes. Totalement hors-sujets, les Genevois ne s’en sont pas relevés par la suite, ne se procurant qu’une seule occasion et étant littéralement asphyxiés par des Bâlois qui auraient pu s’imposer plus largement, la journée portes ouvertes étant de mise. Il augmenteront leur avance dans les dernières minutes pour faire de ce score une manita. Ce 5-0 est le plus lourd score qu’à concédé Servette depuis sa promotion en 2019.
Les notes des Grenat
Jérémy Frick : 4
Ses parades auront éviter au score de prendre des allures de véritable humiliation. Néanmoins, il reste coupable d’une grosse erreur sur ce troisième but qui a sonné le glas de la partie.
Anthony Sauthier : 0
Note attribuée d’office pour son expulsion directe mais qui n’est pas loin de sa note réelle tant son match fut catastrophique. Il laisse à l’abandon Vouilloz sur le premier but, se rate totalement sur le second et le troisième vient également de son côté. Il laisses ses coéquipiers à la 35e minute avec son expulsion.
Nicolas Vouilloz : 1
Un penalty assez bêtement concédé et d’énormes largesse défensives : le numéro 33 aura vécu un véritable calvaire hier après-midi.
Vincent Sasso : 2
Comme toute la défense, il aura pris l’eau et comme son jeune compère de défense, il a concédé un penalty.
Moussa Diallo : 3
En l’absence des nombreux absents, il fut celui qui occupa le couloir gauche et ce ne fut pas une grande réussite avec de nombreux espaces laissés derrière. Remplacé par Ricardo Alves.
Gaël Ondoua : 3
Etouffé par le pressing bâlois, le milieu camerounais a eu énormément de peine malgré un sursaut entre la 30e et la 45e minute.
Kastriot Imeri : 2
L’international M-21 helvétique a été totalement invisible hier sur le pré du Parc Saint-Jacques.
Théo Valls : 3
De retour dans le XI, le Français n’a pu faire peser son poids à mi-terrain durant la rencontre
Boubacar Fofana : 2
Une nonchalance à toute épreuve, des gris-gris à tout va avec en prime un face à face galvaudé face à Lindner : on ne pourra pas dire que la performance de l’ancien de la maison lyonnaise fut flamboyante. Sorti au profit d’un autre Lyonnais Timothé Cognat qui a tenté tant bien que mal de sauver les apparences.
Alex Schalk : 2
Le numéro 10 a été inexistant durant les 68 minutes qu’il a disputé. Son remplacement a permis au jeune Nils Pédat d’effectuer ses premières minutes en professionnel.
Grejohn Kyei : 4
Il aurait pu se fendre d’un superbe assist si Fofana avait converti la seule occasion servettienne. Au-delà de ce fait de jeu, le meilleur buteur aura tenté de limiter la casse, sans grand succès. Remplacé par Koro Koné.