Couleur Grenat 8 (Léman Bleu)
Présenté par Vincent Ulrich
Immersion au coeur du derby du Rhône avec la famille de Steve Rouiller
Entretien avec Sébastien Fournier, ancien joueur et entraineur du Servette FC
Présenté par Vincent Ulrich
Immersion au coeur du derby du Rhône avec la famille de Steve Rouiller
Entretien avec Sébastien Fournier, ancien joueur et entraineur du Servette FC
Le Servette FC retrouve la route du club bernois des BSC Young Boys ce dimanche 3 novembre 2019 sur le coup des 16 heures. Après un probant premier match de championnat et un nul obtenu sur la pelouse du Wankdorf, les genevois repensaient rééditer l’exploit de la saison 2011-2012 qui avait vu le Servette FC prendre la 4ème place après une promotion obtenue face à Bellinzone. Mais à l’aube de la 13ème rencontre de Super League, c’est un bilan comptable bien différent qui attend les Grenat.
La rencontre :
Après un match nul concédé du côté de Tourbillon, Servette s’apprête à recevoir la meilleure équipe depuis deux saisons pour un match des extrêmes compte tenu de la forme des deux équipes. Si l’on avait quitté un YB encore en rodage et un SFC sûr de sa force le 21 juillet dernier, c’est une toute autre configuration qui se dresse pour cette 13e journée. Les bernois viennent de prendre la tête du championnat à la faveur d’une défaite de leurs concurrents bâlois tandis que les genevois enchaînent matchs nuls et défaites en attendant une victoire qui les fuit depuis plus deux mois. De plus, avec la victoire neuchâteloise du week-end dernier, les Grenat vont devoir regarder dans le rétroviseur et faire des points sous peine de se retrouver dans une fâcheuse posture très rapidement. Et quoi de mieux que d’en faire face aux Young Boys ? Surtout que si on se souvient que presque 8 ans jour pour jour (le 6 novembre 2011 pour être précis), Servette remportait la totalité des gains 1-0 malgré un énième complot anti-servettien (rouge illogique à Kouassi) ! Si Pizzinat pouvait effectuer la causerie d’avant match avec Geiger et motiver les troupes, on ne dirait pas non ! On espère une attaque inspirée ce dimanche malgré la suspension de Schalk pour 2 rencontres suite à ses bisous envers les sédunois. Grejohn, c’est le moment de te réveiller !
L’adversaire :
Les BSC Young Boys ne sont pas une équipe inconnue au bataillon. Le mythique club suisse fête ses 121 années et peut se targuer d’avoir été le premier à remporter trois fois de suite le championnat dans l’histoire du football suisse en 1909, 1910 et 1911 après un premier titre en 1903. S’en suivront sept autres jusqu’en 1986 puis ce sera une longue traversée du désert qui prendra fin en 2018 avec un 12e sacre. Qualifié ensuite pour les barrages de la Ligue des champions, YB se qualifie pour la première fois pour la phase de groupes en battant les Croates du Dinamo Zagreb (1-1 à Berne et 2-1 au retour en Croatie) et se permettra même le luxe de battre la Juventus lors de la dernière journée. Néanmoins, en 1958-1959, l’équipe de la capitale avait toutefois déjà atteint un stade avancé de ce qui s’appelait encore à l’époque la Coupe des clubs champions européens, ne s’inclinant qu’en demi-finale contre les Français du Stade de Reims. Avec ses 13 titres de champions de Suisse dont les deux dernières éditions ainsi que 6 coupes de Suisse dans la vitrine en 14 finales, le club de la fausse capitale est clairement installé comme un club référence pour le football suisse bien que ce soit plus compliqué de s’exposer à l’international. Reversé en phases de groupes de l’Europa League, après un échec face à une faible Etoile Rouge de Belgrade, ils occupent la 1ère place de leur groupe devant les Rangers, Porto et Feyenoord, qui ne sont quand même pas des comiques. Depuis le début de la saison, les Bernois n’ont concédés que 4 nuls contre Servette, Lucerne, Bâle et Thoune. Leur victoire lors du derby bernois face à Thoune (4-2) la semaine passée, combinée à la défaite Bâloise sur la pelouse du Letzigrund (2-3) a permis aux jaunes et noirs de retrouver sa place sur le trône de Super League. Avec Ngamaleu (5 passes décisives) et l’ancien attaquant du Servette FC Jean-Pierre Nsamé (11 buts), les Bernois ont la chance de compter le meilleur passeur et le meilleur buteur de la ligue dans leur effectif, c’est donc avec logique que l’équipe emmenée par Gerardo Seoane ait inscrite déjà 30 buts en 12 rencontres. Autre point positif pour les jaunes et noirs, ils se sont qualifiés en quarts de la Coupe après avoir écrasé Zürich 4-0, ou ils iront affronter Lucerne.
Le dernier match :
La dernière venue d’YB date du 18 mai 2013. Devant une maigre affluence de 4281 spectateurs, les genevois se voyaient opposés au BSC Young Boys pour un match de la peur. En effet, les joueurs de Sébastien Fournier se retrouvaient dos au mur à la 33ème journée du championnat et concédant un retard de 4points sur le LS. Sans être transcendants ni dominateurs, les hommes de Bernard Challandes se sont créé les deux plus belles occasions de la première mi-temps. Une tête de Frey mal négociée et surtout, dès les premiers instants de la rencontre, une reprise victorieuse d’Afum sur un centre de Raimondi (6e). Les Genevois, à qui l’on ne cesse de demander rigueur et discipline, se sont fait prendre comme des bleus et ont ensuite dû courir après le score. Manquant de mordant devant, Servette a mis passablement de temps avant de se montrer réellement dangereux. Omar Kossoko, entré à la 54e, aurait pu (dû) égaliser à la 59e, alors qu’il se trouvait en excellente position au cœur de la surface bernoise. Mais le renfort hivernal a complètement manqué son affaire. YB a ensuite perdu pied physiquement, et l’expulsion de Spycher à la 75e n’a bien entendu pas aidé. Dès lors, les Grenat ont poussé, ont eu leur chance mais n’ont pas su la saisir. Ils n’ont pas eu de réussite, étant à chaque fois contrés soit par un Wölfli inspiré, soit par une jambe adverse, soit par la… transversale, sur une frappe de Kossoko à la 85e.
Lien : https://youtu.be/LsiC4BRwp2k
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Article écrit par Marc Schweizer
Un point de gagné pour les fils de leur mère qui est aussi leur soeur, 2 de perdus pour nos joueurs dans notre dernier duel romand de 2019. Retour sur un derby « sauce hollandaise » dont on se souviendra longtemps.
CFF vs Grenats
Bloqué plusieurs fois pour un soit-disant problème de locomotive (qui aurait été changée à Lausanne), le gros des troupes grenat n’est arrivé dans l’étable valaisanne que quelques instants après le coup d’envoi de la partie.
Match classé A en raisons de risques de bagarres, affiches en ville de Sion annonçant l’arrivée des « rats genevois à 18h » : les CFF et la Police auraient-ils élaboré ensemble ce plan machiavélique afin d’anéantir les chances que supporters des deux camps se croisent? Supporters valaisans qui étaient de toutes façons déjà présents aux abords de leur tribune aux alentours des 17h.
Nouvelle preuve (s’il en fallait encore) que les supporters sédunois, dont le QI est égal à leur nombre de titres de champions de suisse, sont également bien mal outillés en-dessous de la ceinture.
Quant aux CFF, encore un couac avec un train servettien.
Ils n’ont pas disparu
Dans son document daté de 1750 et intitulé « Voyage en Suisse », le Marquis de Maugiron écrivait : « il nait chez eux [les valaisans] en assez grande quantité, et surtout à Sion leur capitale une espèce d’hommes qu’ils apellent crétins ». Ce document serait le premier écrit comportant ce qualificatif.
Victor Hugo, en 1839, écrivait lors d’un voyage en Valais : « Les Alpes font beaucoup d’idiots.»
Wikipedia nous apprend quant à lui que « Le crétinisme endémique a été éliminé par l’utilisation de sel de table, et d’autres aliments, enrichi en iode. Le crétinisme infantile est éliminé par un dépistage systématique de l’hypothyroïdie à la naissance, au troisième jour, mis au point dans les années 1970. »
A la vue de ces différents éléments, nous pourrons donc conclure que le speaker de Tourbillon est né avant les années 1970. Annoncer le match à guichets fermés alors que toutes les tribunes excepté le secteur visiteur étaient loin d’être remplies est certainement une forme moderne du crétinisme.
De bom van Breda
Il n’est pas le plus technique, il n’est pas le plus rapide, il n’est pas le plus fort ni le plus grand… Mais il est entré dans le panthéon des attaquants servettiens grâce à son but (splendide au demeurant) et sa formidable célébration de celui-ci.
Quel supporter Grenat n’a pas rêvé inscrire un but devant la tribune des décérébrés blancs et rouges et de leur envoyer une telle preuve d’amour?
Je me posais encore la question avant le match, mais la réponse semble maintenant évidente: si je devais floquer un maillot Grenat cette saison, ça serait SCHALK 11.
Espérons que les hautes instances du football helvétique se montrent clémentes avec notre attaquant. Et que Kyei, qui promettait un goal pour son premier ballon touché puisse, à défaut de marquer, au moins toucher un ballon.
We houden van je Alex!
Les servettiens, première force Romande en déplacement
Plus de 1’000 servettiens auront fait le déplacement en terre ennemie, chiffre simplement énorme et certainement le plus gros contingent de supporters romands à l’extérieur depuis bien longtemps. Un secteur visiteur plein à craquer, les habituels servettiens en tribune latérale et une ambiance de feu dès l’arrivée de la SG à Tourbillon.
Une nouvelle démonstration collective pour prouver à tous que les supporters Grenat sont (et de loin) les meilleurs romands en déplacement et qu’avec un stade aux proportions plus appropriées, aucune autre tribune romande ne pourrait espérer rivaliser.
Parcage de luxe
Prérequis pour travailler à la caisse visiteur du FC Sion ? Connaître sa table de 25.
Tarif unique, que vous soyez chômeur, retraité, mon fils qui fêtait samedi soir ses dix ans, étudiant ou gestionnaire de fortune chez Pictet & Cie, c’est 25.— pour tous mon bon Monsieur !
Scandaleux. Et même les employés du club le disent.
A vous…
Aux quelques supporters valaisans du Servette qui se sont sentis offusqués par l’usage de certains termes désobligeants pour qualifier les sédunois. :
Servette-Sion est LE match attendu par tout supporter des deux camps et le seul que nous jouons dans cette Super League avec une vraie rivalité. Rivalité qui est d’ailleurs devenue, au fil des années sans se rencontrer, des mesures prises contre la violence aux abords des stades, plus folklorique qu’autre chose. La preuve en est avec le groupe de servettiens assis en tribune latérale, drapeau grenat bien affiché. Cela aurait-il été possible il y a 20 ans ?
Il semble en effet bien loin le temps des batailles rangées entre supporters, des jets de pierres entre deux camps séparés par une ligne de policiers. La violence n’est aujourd’hui plus que verbale et permet d’entretenir cette rivalité qui fait de chaque Servette – Sion un match à nul autre pareil.
Cartons
Carton rouge à la Fondation du Stade qui a encore une fois déplacé un match de l’équipe féminine (contre YB) de la Praille à Florimont pour la deuxième fois de la saison, après le match contre Zurich déplacé lui à Balexert. En tête de leur championnat, nos filles ne méritent pas ce manque d’égard. Protéger la pelouse? L’excuse aurait été acceptable si deux (oui, deux) matchs de rugby n’avaient pas été eux maintenus et joués dimanche, soit 3 jours après le match des filles!
Carton rose aux M21 d’Ursea, qui ont enchaîné une 12è victoire en autant de rencontres et caracolent en tête du championnat de deuxième ligue inter.
Place maintenant à un mois de novembre de tous les dangers, avec les réceptions d’YB dimanche, Bâle le 23 et le déplacement à Lucerne le 9.
TOUS A LA PRAILLE DIMANCHE!
Blan Lokal
Le système :
Le onze aligné par Geiger est, sans doute, le meilleur possible sur le papier. Un 4-2-3-1 équilibré avec Schalk comme attaquant de pointe. Etant donné que Koné est blessé, Kyei de plus en plus décevant et le cas du Chagas bashing, le choix paraît logique.
Image tirée de transfermarkt :
L’analyse :
Dans un derby il y a toujours une tension particulière et de la peur. Un fait en témoigne : le match s’est principalement déroulé au milieu de terrain. En effet, cette bataille au cœur du jeu a laissé place à peu d’occasions de part et d’autres. Un jeu haché et des duels âpres illustrés notamment par la sortie sur blessure d’Imeri. Les Grenat ayant souvent le ballon face à un bloc de Sion très compact ne sont pas parvenus à trouver souvent le cadre. Difficile de trouver des espaces pour mettre en danger les valaisans. Les frappes de Tasar à la 62’ et 72’ n’inquiétant pas vraiment Mitryushkin en témoignent. On aurait voulu voir d’avantage Cognat plus haut dans le terrain tant il a paru discret sur ce match, cantonné à un rôle plus défensif.
Néanmoins, on sent l’équipe plus en jambe et mieux inspirée. On a pu apercevoir du mouvement offensif et surtout des combinaisons intéressantes entre le milieu et l’attaque qui manquaient cruellement lors des dernières rencontres. Servette a su garder le ballon intelligemment pour tenter de se créer des occasions venant du jeu. Un autre aspect rassurant est le pressing retrouvé. Cela a permis de récupérer le ballon plus haut sur le terrain afin de déstabiliser les sédunois le plus rapidement possible ne leur laissant pas le temps de se repositionner. Le constat est rassurant pour la suite de la compétition mais dommage que le calendrier ne soit pas en notre faveur.
L’équipe a donc fait un match abouti et aurait mérité mieux qu’un simple match nul. Il y a clairement une progression de la part de l’équipe qui semble, petit à petit, retrouver son jeu. Sion n’était pas du tout inspiré et a refusé le jeu ne se créant que peu d’occasion de but. Uniquement 2 tirs au total sur un coup franc et le penalty transformé par Doumbia. C’est dire la prestation affligeante proposée par les hommes d’Henchoz qui sont sortis sous les sifflets de leur public. Tellement inoffensifs que le ballon n’a pratiquement pas passé notre milieu de terrain. Un nul qui arrange bien les valaisans finalement …
Le but servettien :
Schalk hérite du ballon à la suite d’une touche et le protège habilement. Il le donne à Iapichino et le lui reprend dans les pieds. Puis, autour de 4 sédunois, il percute et rentre dans la surface en éliminant Alex Song (ex-Barca et Arsenal tout de même) d’un crochet gauche pour ajuster d’un plat du pied. La classe ! On notera que le but a été inscrit de son mauvais pied.
Le but sédunois :
Difficile de comprendre pourquoi Sasso tacle dangereusement dans la surface. Il aurait peut-être suffit d’accompagner Abdellaoui afin de mettre le ballon dehors. Malheureusement, cette faute coûte un pénalty que transforme l’expérimenté Doumbia.
Tops :
Flops :
Analyse effectuée par Emin Bagkan
Olympique des Alpes – Servette 1-1 (1-1) : immenses regrets mais mieux qu’il y a 1 mois !
21h ce samedi soir. Cela fait quelques minutes que M. Tschudi a sifflé la fin de ce derby qui s’est conclu sur un 1-1 qui n’arrange clairement personne sur le plan comptable. Mais c’est bel et bien Servette qui a le plus de garantis sur son niveau de jeu que cette pâle équipe sédunoise, dont les supporters malgré leur QI proche du zéro absolu ont eu l’intelligence de le reconnaître et l’ont fait savoir à la fin de la rencontre. Étaient-ils encore sous le choc de notre article d’avant-match ? Cela leur servira d’excuse au cas où.
Avec le 11 type de base qui avait débuté la saison (mise à part Iapichino et Schalk), les Grenat s’emparent du cuir et veulent aller ouvrir le score mais ils pêchent dans le dernier geste. Seul une petite déviation de Sasso sur un coup franc de Wüthrich inquiète réellement Mytriu… oh et puis on ne va pas s’embêter à écrire le nom du goal sioniste (oui, on a entendu ça en tribune). Venons-en aux Valaisans, qui ne vont pas être loin de faire un hold-up lorsque Grgic voit Frick dévier son coup franc du bout des doigts en corner.
Ils vont s’en mordre les doigts car 120 secondes plus tard, les genevois vont ouvrir le score sur un superbe solo de Schalk qui en profitera pour aller montrer tout son amour au Gradin Nord (quel nom ridicule vous ne trouvez pas ?). Aurait-il mieux fait de s’abstenir ? Peut-être car 4 minutes plus tard, Sion décrochait un penalty que Doumbia. Ce sera la dernière fois que l’on verra les pantins de Constantin mettre en danger l’arrière-garde servettienne.
Car en seconde mi-temps, il n’y a qu’une seule équipe sur le terrain (l’autre étant trop trouillarde) mais nos joueurs ne vont pas être au rendez-vous au niveau de la finition, n’arrivant pas à s’inscrire le but libérateur pour enfin décrocher une première victoire depuis 2 mois. Du côté de la « Grande » équipe du FC Sion ? Rien, aussi vide que leur stade où l’on annonçait guichets fermés, bizarre…
Les Notes
Frick : 6
Un seul arrêt de la rencontre à faire, cela doit faire longtemps qu’il n’a pas passé un match tranquille.
Sauthier : 6
Capitaine Sauthier s’est énormément donné dans son couloir droit mais sans toutefois être réellement percutant.
Rouiller : 7
Gros match de la part de notre valaisan qui se savait très attendu pour ce match face à son club formateur et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a répondu aux attentes. Très calme et excellent aujourd’hui.
Sasso : 4.5
Une faute très stupide qui coûte probablement les 3 points de la victoire. Fort dommage pour lui qui tenait la baraque depuis le début de saison.
Iapichino : 7
Le chaînon manquant dans cette équipe, qui empêche Geiger d’aligner Severin et ainsi de débuter la rencontre en infériorité. Sa blessure n’est plus qu’un lointain mauvais souvenir.
Ondoua : 5
Des pertes de balles, des mauvais choix. Bref, un match moyen pour notre intellectuel russo-camerounais.
Cognat : 6
Alain Geiger ne l’avait pas raté après son erreur fatale face aux brodeurs, il lui a quand même refait confiance pour ce match important. Il est apparu en meilleure forme qu’il y a 6 jours.
Tasar : 6,5
Très volontaire, il a créé ses occasions et n’a pas hésité à tenter sa chance de loin. Bémol : il aurait pu faire mieux lors de certaines actions.
Wüthrich : 6
Une activité correcte à mi-terrain et la première réelle chance de but à son actif.
Stevanovic : 5,5
Quasiment 1 mois après sa dernière apparition, il n’a pas su tirer son épingle du jeu.
Schalk : 10
Pour sa célébration, il mérite sa note et même une statue sur l’esplanade de la Praille.
Plus sérieusement il a été le meilleur sur le terrain, récompensé par un superbe but.
Imeri
15 minutes dans les jambes, et une sortie dans le temps additionnel à cause d’un tacle assassin (d’ailleurs on attend toujours le rouge).
Kyei
0/8 au shoot, 0/3 au 3 point. Dans quelle franchise NBA va-t-il signer ?
Routis
Trop peu de temps de jeu pour être jugé.