FC Luzern – Servette FCCF : le retour du championnat !

FC Luzern – Servette FCCF : le retour du championnat !

Ce weekend marque le retour du championnat d’AXA Women Super League. Après la féérie de l’Euro féminin cet été en Suisse, l’espoir de voir les gradins garnis pour soutenir les joueuses du pays est grand. Mais ceux de l’Hubelmatt le seront-ils ? Réponse ce samedi 23 août!

 

C’est un nouveau cycle qui se présente pour le club Grenat, avec passablement de mouvements cet été… à commencer par le départ de l’entraîneur José Barcala pour le grand Bayern Münich. Mais pas seulement, puisque le club a compté de nombreux départs dont des joueuses d’importance telles que Imane Saoud, Maéva Clémaron ou Cassandra Korhonen.

Et des joueuses de la Nati ayant participé au tournoi, seule Sandrine Mauron était sélectionnée par Pia Sundhage. L’ex-joueuse du Servette FCCF s’est depuis envolée outre-atlantique pour découvrir le football en Amérique du Nord. 

 

Un nouveau coach pour une nouvelle dynamique

Cristian Toro s’est engagé pour une saison en provenance du Valencia CF Femenino. La connexion avec l’ex-joueuse du Servette FCCF et désormais directrice sportive Marta Peiro semble payer, mais une question demeure : pourquoi un si court contrat? En effet, difficile de mener un projet à long terme avec une si courte échéance. 

Derrière cette signature, il y a également des principes de jeu offensifs qui seront bienvenus. Et surtout bonifiés par des joueuses en pleine bourre, notamment Thérèse Simonsson et la nouvelle recrue italienne Gloria Marinelli (AC Milan) avec deux buts chacune contre Thonon en match amical samedi. 

La joueuse à suivre

On regrette le départ de Maéva Clémaron, capitaine et métronome du Servette FCCF durant 3 saisons pleines. Sa riche expérience sera toutefois comblée par celle de Ghoutia Karchouni ! La joueuse est internationale algérienne et provient d’un gros calibre : l’Inter Milan.

Contre Thonon, elle a géré le milieu de terrain et marqué un magnifique goal sur coup-franc, de quoi donner des sueurs froides aux gardiennes sachant que l’excellente Joana Marchao est toujours dans l’effectif!

 

Un FC Lucerne plus ambitieux ?

Luzia Odermatt. Un nom qui ne dit peut-être rien, mais qui parle surement aux suiveuses et suiveurs du championnat. La Nidwaldeuse de 41 ans, qui collabore avec l’ASF avec l’équipe nationale féminine U16, a été l’entraîneure adjointe et gestionnaire de talents à GC la saison dernière. Avec ces compétences spécifiques, elle pourra mettre en évidence les talents de la formation lucernoise, à commencer par Lena Wälti, Ramona Schallberger ou Lea Kramoviku.

Elles ont intégrées cet été dans le contingent de la première en provenance des équipes de jeunes. Rien ne garanti par contre qu’elles soient titulaires pour ce premier match. Mais Lucerne prépare son avenir après une saison 2024-2025 décevante (8e place). 

 

Soyez au rendez-vous pour cette nouvelle saison d’AXA Women’s League qui s’annonce palpitante. Servette FCFF ayant été décevant la saison dernière, c’est l’occasion de rebondir et espérer gagner le championnat. Mais aussi la Coupe de Suisse? On ne sait jamais!

Photo: Julien Thurnherr

FC Shakhtar Donetsk – Servette FC (1-1) : tout se jouera à la Praille

FC Shakhtar Donetsk – Servette FC (1-1) : tout se jouera à la Praille

Les Genevois ont tenu tête au Shakhtar Donetsk (1-1) lors du barrage aller de Conference League. Dominés dans le jeu, ils restent en course pour décrocher une qualification européenne à Genève.

Un début idéal avec l’ouverture du score de Fomba

À Cracovie, où le Shakhtar dispute ses rencontres européennes « à domicile », le Servette FC a frappé d’entrée. Sur un corner de Baron, Lamine Fomba, oublié par la défense ukrainienne, a placé une tête rageuse dès la 8e minute.

Cette réussite a récompensé la première véritable incursion genevoise dans le camp adverse. Par la suite, seule une frappe lointaine de Varela a encore sollicité le portier Riznyk.

Servette recule et subit la pression

Rapidement, les Grenat ont choisi de défendre leur avantage. Très compacts et solidaires, ils ont multiplié les interventions défensives. Joël Mall s’est montré décisif à plusieurs reprises, notamment face à Alisson.

Baron a également été précieux derrière pour limiter les dégâts. Mais la domination ukrainienne s’est intensifiée, et les Genevois ont eu toutes les peines du monde à sortir de leur camp.

Bondar égalise, la qualification reste ouverte

Malheureusement, les digues servettiennes ont fini par céder à la 72e minute. Sur un corner prolongé au second poteau, Valeriy Bondar a égalisé de la tête dans un but quasiment vide. Malgré une fin de match largement dominée par le Shakhtar, Servette a tenu le score (1-1).

Avec 26 tirs concédés pour seulement 2 tentatives genevoises, le nul apparaît flatteur, mais il maintient toutes les options ouvertes pour le retour.

Une soirée ternie par une erreur administrative

Avant même le coup d’envoi, le club genevois avait dû encaisser un contretemps embarrassant : Florian Ayé, recruté cet été, n’était pas qualifié en raison d’une erreur administrative. Contraint de suivre la rencontre depuis les tribunes, l’attaquant français n’a pas pu faire ses débuts.

Une bévue qui fait tache, d’autant plus que Jocelyn Gourvennec devait déjà composer sans sa paire de centraux Rouiller-Séverin.

 

Ce nul arraché dans la douleur permet au Servette FC de croire à un automne européen. Tout se jouera jeudi prochain au Stade de la Praille, où les Grenat tenteront de valider leur ticket pour la phase de groupes de la Conference League.

 

FC Shakhtar Donetsk- Servette FC :  Dernière chance pour jouer l’Europe

FC Shakhtar Donetsk- Servette FC : Dernière chance pour jouer l’Europe

Ce jeudi 21 août à 20h, le Servette FC se déplacera en Pologne pour affronter le FC Shakhtar Donetsk dans le but d’obtenir une qualification à l’Europa Conference League.

Éliminé des qualifications de la Champions League, puis battu par Utrecht en Europa League, le Servette FC joue désormais sa dernière chance européenne. En face, le Shakhtar Donetsk est dans la même situation : lui aussi a vu ses rêves de Ligue Europa s’éteindre après une cruelle élimination aux tirs au but contre le Panathinaïkos. Autant dire que les deux équipes abordent ce barrage de Conference League avec une énorme pression.

Une dose de confiance avant l’Europe

Après un début de saison très difficile, marqué par 5 défaites lors de ses 8 premiers matchs officiels, le Servette FC a enfin retrouvé des couleurs en Coupe de Suisse. Opposés au FC Dardania Lausanne, club de 2e ligue interrégionale, les Grenat se sont imposés 5-0, une victoire nette et rassurante. Plus que le score, c’est l’attitude affichée qui a compté : rigueur, intensité, efficacité offensive et implication de tout le groupe. Le gardien Jérémy Frick a signé un clean sheet, symbole d’une défense enfin concentrée et solide. Stevanović, Jallow, Ayé et Bronn ont marqué, tandis que le jeune Alonzo Vincent, à seulement 16 ans, est devenu le deuxième plus jeune buteur de l’histoire du club. Ce succès a permis de briser la spirale négative et d’engranger de la confiance avant le déplacement européen.

 

La forme de l’adversaire

Le Shakhtar Donetsk arrive lui aussi avec des blessures récentes : le club ukrainien a été éliminé de l’Europa League après une cruelle séance de tirs au but contre le Panathinaïkos. Contraint de jouer ses matchs européens en exil, il a fait du Stade Henryk Reyman de Cracovie sa base provisoire, un stade qu’il maîtrise désormais parfaitement.
Malgré ces déconvenues, le Shakhtar conserve une équipe redoutable. Son contingent brésilien reste l’un de ses points forts, apportant créativité et explosivité dans les phases offensives. Parmi eux, Kauã Elias, jeune avant-centre de 19 ans, s’est déjà distingué en ce début de saison. Meilleur buteur du club actuellement, il représente une menace sérieuse pour la défense servettienne par sa vitesse, sa mobilité et son sens du but. Autour de lui, l’expérience européenne de l’effectif et la discipline collective font du Shakhtar un adversaire particulièrement difficile à manœuvrer.

Le Servettien à suivre

Recruté cet été en provenance de l’AJ Auxerre, Florian Ayé a débloqué son compteur avec Servette lors de la victoire en Coupe de Suisse face à Dardania. Avant-centre de métier, il est précisément le profil qui manquait aux Grenat : puissant dans les duels, habile dos au but et capable de peser sur toute une défense. Dans un match aussi tendu, la réussite offensive pourrait se jouer sur un détail et tous les regards seront tournés vers lui. Miser sur un but d’Ayé n’a rien d’utopique : c’est peut-être lui qui peut relancer la saison européenne des Grenat.

Ce jeudi 21 août à 20h00, le Servette FC affronte le Shakhtar Donetsk au Stade Henryk Reyman de Cracovie pour un match crucial. Après un début de saison compliqué, les Grenat ont enfin retrouvé confiance grâce à leur large succès en Coupe de Suisse, et ils savent qu’ils jouent désormais leur dernière chance européenne. L’objectif : réaliser un grand match, bousculer le Shakhtar et décrocher un avantage avant le retour à la Praille.

Ce barrage doit être le point de bascule de la saison : un moment pour tourner la page des difficultés, retrouver l’élan collectif et prouver que le club genevois peut rivaliser sur la scène continentale.

Rendez-vous jeudi à 20h à Cracovie  ou devant votre poste de télévision : ensemble, allons chercher l’exploit et écrivons une nouvelle page de l’histoire grenat !

Allez Servette !

Photos: Julien Thurnherr

 

 

 

 

 

Le Servette éliminé à Utrecht : une soirée européenne pleine d’enseignements

Le Servette éliminé à Utrecht : une soirée européenne pleine d’enseignements

Le Servette FC s’est incliné ce jeudi soir face au FC Utrecht, scellant ainsi son élimination des qualifications pour l’Europa League. Malgré une volonté affichée de renverser la tendance après la défaite 3-1 à Genève, les Grenat n’ont pas réussi à faire trembler les Néerlandais dans leur antre du Stadion Galgenwaard.

Une élimination logique, née de fautes évitables

Comme au match aller, Servette a montré de belles intentions, mais n’a jamais su concrétiser ses temps forts. Chaque but encaissé ce soir est venu d’une perte de balle servettienne, souvent dans des zones sensibles. Ces erreurs ont permis à Utrecht, très à l’aise dans son jeu de passes rapide en une ou deux touches, de trouver facilement des joueurs entre les lignes et de punir les Genevois avec efficacité.

Analyse tactique : Utrecht plus fluide, Servette trop friable

Utrecht a imposé son rythme grâce à une circulation de balle limpide. Leur capacité à casser les lignes avec des passes courtes et rapides a mis en difficulté une défense genevoise déjà affaiblie par les absences. Servette, de son côté, a manqué de maîtrise dans les transitions et de rigueur dans la relance, offrant trop de munitions à l’adversaire.

Les moments clés du match

  • But annulé (40’) : Utrecht croyait avoir marqué, mais le but a été refusé après vérification à la VAR. L’arbitre a constaté une faute de main de Van der Hoorn au début de l’action.

  • 1-0 : Utrecht ouvre le score grâce à une belle action rapide. Jensen décale Rodriguez, dont la frappe est repoussée par Mall. Le ballon revient dans les pieds du Danois, qui n’a plus qu’à le pousser au fond.

  • 2-0 : En seconde période, Utrecht double la mise. Après une récupération haute, Blake sert Murkin, dont le centre parfait trouve Jensen. C’est un jeu d’enfant pour le Danois, qui s’offre un doublé.

  • 2-1 (Servette, penalty) : Guillemenot protège bien son ballon dans la surface et subit une charge irrégulière d’Engwanda. Jallow transforme parfaitement le penalty, sauvant l’honneur des Genevois.

 

Composition & absences notables

Le nouvel entraîneur Jocelyn Gourvennec a dû composer sans plusieurs cadres : Steve Rouiller et Yoan Severin, tous deux absents pour blessure. Quant à Samuel Mraz, l’attaquant physique et précieux dans les duels, il aurait sans doute apporté beaucoup ce soir. Malheureusement, sa blessure semble plus sérieuse qu’annoncé la semaine dernière.

Ces absences ont pesé lourd, notamment sur la solidité défensive et la capacité à tenir le ballon en attaque.

Le troisième maillot : audace en jaune, clin d’œil au grenat

Servette a disputé ce match dans son troisième maillot jaune, une tunique qui divise. Majoritairement apprécié pour son originalité et son élégance, il suscite néanmoins des avis partagés au sein de notre rédaction. Certains saluent une modernité assumée, d’autres y voient une faute de goût. Cela dit, un clin d’œil subtil à l’identité servettienne demeure : les manches du maillot arborent fièrement le grenat, rappelant que, même dans l’innovation, les racines du club ne sont jamais bien loin.

Le soutien des fidèles

Malgré la distance, environ 100 supporters servettiens ont fait le déplacement à Utrecht. Leur présence bruyante et fidèle dans les tribunes a apporté une touche de chaleur dans une soirée difficile, témoignant de l’attachement indéfectible entre le club et sa communauté.

Dimanche, Servette doit réagir en Coupe de Suisse

Après cette élimination, Servette n’a plus le droit à l’erreur. Dimanche, les Grenat affronteront le FC Dardania Lausanne en Coupe de Suisse (15h30). Ce match, face à une équipe de division inférieure, doit être l’occasion d’un sursaut net et sans bavure.

Servette se doit de gagner ce match aisément. Pas seulement pour se qualifier, mais pour retrouver de la confiance, rassurer ses supporters et envoyer un signal fort : la saison est loin d’être perdue. Il est impératif que les Genevois abordent cette rencontre avec sérieux, intensité et efficacité.

Article : Marcello Corazza 

Jocelyn Gourvennec débarque à Genève avec humilité et ambition

Jocelyn Gourvennec débarque à Genève avec humilité et ambition

Dans la salle de presse du Stade de Genève, un parfum de nouveauté flotte dans l’air. À la table, aux côtés du président Hervé Broch, Jocelyn Gourvennec prend place, souriant, visiblement déjà à l’aise. L’homme vient à peine de poser ses valises que l’on sent déjà qu’il veut s’installer pour longtemps.

« Le rendez-vous que nous avons eu a été presque parfait », confie-t-il. L’histoire a commencé il y a seulement quelques jours : un appel lundi matin, une rencontre dans la foulée, et un accord scellé à la vitesse d’une contre-attaque. Deux saisons, plus une année en option.

L’humilité comme point de départ

Le Français n’arrive pas en sauveur, mais en bâtisseur. Il a visionné tous les matches du Servette depuis le début de saison, s’imprégnant du jeu, des visages et de l’atmosphère. « Je viens avec beaucoup d’humilité. » Son premier chantier ? Remettre tout le monde sur la même longueur d’onde : les jeunes, les recrues et les cadres.

Un football qui parle au cœur

Ancien numéro 10, Gourvennec veut un jeu qui respire le plaisir :

« La possession pour la possession, ça ne sert à rien. Je veux qu’on soit capables de maîtriser, mais aussi d’accélérer, de surprendre. »

Il ne promet pas un style figé, mais un équilibre entre contrôle et transitions, pour séduire les supporters et bousculer les adversaires.

La jeunesse dans l’ADN

Dans sa carrière, Gourvennec a toujours eu le flair pour lancer des jeunes qui, parfois, sont devenus internationaux, Aurélien Tchouameni et Jules Koundé, par exemple. Il compte faire de même à Genève. « Donner une chance à un jeune, c’est envoyer un message à toute l’académie. »

Des objectifs inchangés

Pour le président Hervé Broch le cap reste clair : l’Europe, un podium, et un beau parcours en Coupe de Suisse. Gourvennec ne recule pas devant la mission. « J’ai vu un groupe investi et souriant. On va travailler pour améliorer le collectif, être plus solides et plus dangereux. »

Jeudi, le Servette disputera déjà un match européen crucial. Et dans les tribunes, on pourra observer si, au-delà des mots, la patte Gourvennec commence déjà à s’esquisser.

 

 

 

Servette FC – Grasshopper (1-1) : Les Grenat stoppent la série noire et décrochent leur premier point

Servette FC – Grasshopper (1-1) : Les Grenat stoppent la série noire et décrochent leur premier point

En difficulté depuis le début de saison, Servette a enfin débloqué son compteur en Super League en décrochant le nul (1-1) face à GC. Menés à la pause, les Grenat ont réagi grâce à Lamine Fomba, sous les yeux de leur nouvel entraîneur.

Une première période compliquée

Sous les yeux de leur futur entraîneur Jocelyn Gourvennec, les Grenat ont eu toutes les peines du monde à entrer dans leur match. Face à un Grasshopper également en quête de points, Servette a affiché un visage timoré, hésitant à se projeter vers l’avant.

L’action symbolique du début de rencontre est intervenue dès le coup d’envoi, avec plusieurs passes en retrait jusqu’au gardien Mall, signe d’un manque de confiance évident.

Après quelques occasions timides, la sanction est tombée à la 33e minute : une perte de balle de Bronn a conduit à un centre de Plange, mal négocié par Ondoua, dont le dégagement manqué a offert à Saulo Decarli l’ouverture du score pour GC.

Le réveil après la pause

À la mi-temps, le duo intérimaire Dimic–Alphonse a procédé à deux changements, lançant notamment la recrue Florian Ayé et Lamine Fomba. L’effet a été immédiat : Ayé a provoqué un penalty à la 54e minute, que lui-même a tiré… mais Justin Hammel s’est interposé. Malgré cet échec, Servette s’est montré plus entreprenant, profitant d’un Grasshopper prudent.

La récompense est arrivée à la 75e minute : à la suite d’un ballon contrôlé par Ayé dans la surface, Fomba a conclu de près pour remettre les deux équipes à égalité. Les Zurichois ont protesté pour une main présumée de l’attaquant français, mais l’arbitre Johannes von Mandach a validé le but.

Une fin de match à l’avantage des Grenat

Porté par cette égalisation, le SFC a poussé en fin de rencontre. Cognat a même cru offrir la victoire aux siens, mais son but a été annulé pour hors-jeu. Les Genevois devront se contenter de ce premier point de la saison, qui met fin à une série de quatre défaites consécutives toutes compétitions confondues.

Et maintenant ?

Servette reste avant-dernier, à égalité avec GC et Winterthour. Le chantier est important pour Jocelyn Gourvennec, qui prendra officiellement ses fonctions lundi. Avant de retrouver la Super League, les Grenat se rendront à Utrecht jeudi en Europa League, puis à Chavannes-près-Renens dimanche pour affronter Dardania Lausanne en Coupe de Suisse.

Ce nul offre un léger répit aux Grenat, qui devront confirmer ce sursaut pour relancer leur saison.

Photos: Luca Girod