Ce que j’ai à dire, c’est que nous n’avons pas joué deux mais trois compétitions différentes. Le championnat, la coupe et les playoffs sont différents. L’état d’esprit, le contrôle des émotions et le jeu aussi. C’est difficile d’être consistant match après match et de savoir que sur un match se joue le championnat. Et dans ce genre de match, où l’on joue une équipe organisée comme Zürich, nous savions que nous devions connaître les différents matchs dans le match. Nous avons bien analysé les détails et bien que nous n’ayons pas joué le plus beau match de la saison, nous étions en finale et devions faire les choses bien.
Écoutez… Nous avons analysé nos points forts et faibles de la saison. Je leur ai parlé aussi de la distance qui sépare Genève à Alicante [lieu du camp d’hiver]. C’est 1’300 kilomètres. C’est beaucoup, mais si on avance jour par jour, cette distance n’est plus que de 30 kilomètre par jour. Ce match, c’est la même chose : Zürich c’est grand. Mais si vous travaillez mètres par mètres, centimètres par centimètres dans l’action et le pressing, c’est faisable.
C’est une pure attaquante, elle pense toujours à marquer. C’est quelque chose de spécial pour un entraîneur. C’est une joueuse importante dans cet effectif, et un bon complément des différentes attaquantes que nous avons au club.
Wow… c’est un rêve d’équipe. C’est fantastique de pouvoir se confronter aux meilleures équipes d’Europe. On a repoussé nos limites pour cela.
Que dire… Je souhaite remercier Richard Feuz qui a été le président qui m’a amené dans ce projet avant son départ. Mais aussi Éric Sévérac qui a effectué un travail remarquable durant cinq saisons avant moi. J’ai rejoint cette opportunité dans un cadre où tout le monde travaille dans la même direction, comme Sandy Maendly, le nouveau président Yoann Brigante et mon staff derrière moi qui mettent tout en œuvre au club pour fournir les meilleures ressources de travail et de performance. Et évidemment les joueuses, qui ont été incroyables.
Le moment clé est aujourd’hui, ce dimanche… Comme je disais, nous avons joué trois compétitions et non pas deux. Mes joueuses ont joué avec confiance, et nous savions que nous avions jusqu’à mars pour faire des erreurs. Ensuite, c’était les playoffs et c’est différent. Le moment clé est de travailler jour après jour.
Photo : Victor Perrin
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