Pause internationale finie, c’est le retour du championnat pour nos Servetiennes ce samedi à 15h. Toujours invaincues cette saison, c’est l’occasion de se mesurer à Grasshopper, troisième du dernier exercice. De quoi continuer sur cette belle lancée?
Cette semaine était à oublier pour nos Genevoises Laura Felber et Sandrine Mauron, convoquées sous le maillot suisse. Sur le banc lors des deux sorties helvétiques, elles n’ont pu que constater les défaites de leurs coéquipières face à l’Italie (0-1) puis l’Espagne (5-0). En même temps, le Portugal d’une Ines Pereira titulaire s’inclinait en France (2-0) mais victoire par la suite face à la Norvège (3-2). Cependant, cette dernière rencontre a vu la sortie prématurée de notre gardienne, dès la 6e minute à la suite d’un choc avec une adversaire. Heureusement plus de peur que de mal pour Inès qui devrait pouvoir tenir ces cages samedi.
Désormais, c’est le championnat qui nous importe puisque les Servetiennes retrouvent les terrains de la Fontenette ce samedi 30 septembre à 15h. Après leur nul face à Lucerne lors de la 1ere journée, l’équipe entraînée par Jose Barcala reste sur une bonne série de deux victoires consécutives et à chaque fois sur le score de 3 buts à 0. Désormais troisièmes avec 7 points, le classement leur donne l’avantage face à leur adversaire du jour qui n’a engrangé qu’une victoire face à Lucerne (4-0) pour deux défaites: Bâle et Zürich. Avant une semaine anglaise à deux matchs face à YB puis un déplacement à Saint-Gall, ce serait l’occasion idéale pour elles de confirmer avant ce beau duel de mercredi prochain.
Un GCZ en difficulté?
La saison passée, le second club Zurichois s’était hissé dans le trio de tête avec ses 38 points, six derrière leur rival. En 18 rencontres, elles se sont imposées à 12 reprises pour 4 défaites. Cependant, cette saison le départ est un peu mouillé. Seulement 3 points obtenus en trois rencontres, le bilan est famélique. Pourtant, leur effectif s’est bien renforcé avec les arrivées de Sydney Schertenleib (FC Zürich) ainsi que Tamar Dongus (US Sassuolo). Le club a même misé sur la continuité sur leur banc de touche, par rapport à six autres clubs, en gardant l’allemande Anne Pochert, arrivée à l’été 2022. Leur entraîneure va donc vite devoir remobiliser ses troupes si elles souhaitent engranger des points dans cette bataille.
Afin de mobiliser un maximum de monde ce samedi, le Servette FC organise une opération spéciale pour assister à cette rencontre puis à celle de leurs homologues masculins qui reçoivent Lausanne à 18h00 donc TOUS AU STADE!
Un samedi 𝑮𝒓𝒆𝒏𝒂𝒕 🇱🇻
Avec un billet pour #SFCLS, vous aurez également accès au match du @ServetteFCCF face à GCZ au Stade de la Fontenette !
Mercredi soir au Stade de Genève, les Grenat recevaient Winterthur pour la 8e journée de Super League. Servette n’avait qu’un objectif: gagner pour mettre fin à cette mauvaise série qui tient depuis la première journée de championnat. Malgré une belle deuxième période, les Genevois ont été puni dans les ultimes minutes. Score final, 2-2.
René Weiler fournit depuis quelques mois une pâle copie à la tête du Servette FC. Hormis une belle qualification face à Genk, une seule et unique victoire est à inscrire à son palmarès de la saison (hors Coupe). Servette, malade, doit guérir et Winterthur sonne comme le médicament qu’il lui faut.
Habitué à son désormais inséparable 4-4-2, Weiler reconduit la doublette Crivelli-Bedia du début de saison et aligne Ondoua à la place de Douline. L’international camerounais apporte plus satisfaction que le milieu défensif français. En ce qui concerne la feuille de match, Vouilloz et Fofana sont une nouvelle fois absents. Le premier, en pleine négociation de prolongation de contrat, et le second pour ce qu’il semble être un motif disciplinaire. En effet, le tacticien suisse a semblé viser l’ailier français en conférence de presse en insinuant que certains joueurs étaient trop “égoïstes”, et qui “trouvent toujours des excuses pour justifier une performance qui n’est pas suffisante”.
Le match
Devant une faible affluence de 4’124 spectateurs, Servette débute le match timidement. Les quelques occasions que les Genevois se procurent ne font pas frémir le portier zürichois et le milieu de terrain semble être un no man’s land où on ne voit trace d’un joueur servettien. En effet, le 4-4-2 laisse un trou béant dans l’entrejeu grenat, obligeant Bedia à repiquer plus bas qu’à l’accoutumé. Malheureusement, l’arbitre, contrairement à sa tenue, n’a semble-t-il pas sorti le bleu de travail et n’a pas bronché lorsque le défenseur de Winterthour échange subitement son poste avec le gardien et se permet une main en pleine surface. Et comme dans une pièce de Molière, la faute est à La VAR car elle non plus ne bronche pas malgré le ralenti montrant une main qui influence clairement l’action de jeu. À la fin de la première période, Servette concède un pénalty incontestable. Buess le transforme (0-1) et Winterthur rentre aux vestiaires en menant face à un Servette bien terne.
Au retour des vestiaires, le mot a été passé et Servette revient avec plus d’envie. À la 54e, sur un service d’Ondoua, Bedia s’emmène parfaitement le ballon et fusille Marvin Keller (1-1). Sur l’action qui suit le coup d’envoi, Bedia n’est pas loin de doubler la mise, mais il est un poil trop court. Le stade reprend subitement vie et Servette repropose du jeu comme lors du match contre Lucerne dimanche dernier. Et Stevanovic, le MVP servettien, de son mètre quatre-vingts place une belle tête à la 82e et redonne l’avantage au sien (2-1). À saluer le bon centre de Bolla aussi.
On se dit alors que c’est fait, que Servette tient enfin sa première victoire depuis 2 mois, mais malheureusement, le monde n’est pas rose comme le maillot third du SFC. À la 89e, Mazikou bien parti, se prend une belle charge dans les seize mètres, l’arbitre est catégorique, il n’y a rien. Sur le contre, les attaquants de Winterthur se jouent de Bolla d’une une-deux et sur le centre tendu, Severin met le pied mais conduit sans le vouloir le ballon au fond des filets (2-2). Le geste du défenseur français est peu compréhensible vu son positionnement et le fait qu’aucun attaquant ne semblait à la réception du centre, ni lui faire pression. Servette, bien tristement, n’arrivera pas à changer la donne et concède un match nul plus que frustrant.
Les tops et les flops
Top: Chris Bedia. Il a sonné la révolte servettienne. En première mi-temps il allait chercher les ballons pour créer le jeu. Il a été l’artisan de match, il aurait mérité cette victoire.
Flop: Il est dur de placer un flop, l’arbitre n’a pas été bon mais cela n’en excuse pas la prestation. Kutesa a lui été peu en vue, mais ce n’est pas pour autant un mauvais match. La stat désolante à ressortir et que Servette a tiré 51 fois au but en 2 matchs et n’a marqué que 2 fois…
Servette reste 8e avec 7 points seulement, dont 1 seule victoire et 4 matchs nuls. Devant les Genevois, Yverdon, 4 points d’avance avec un match en moins. Samedi soir, les Grenat n’ont pas le droit de perdre. Le derby du Lac de Genève sera peut-être fatal pour Weiler, avant d’affronter l’ogre romain dans sa tanière.
Courant toujours après une victoire en Super League suite à trois défaites de rang, le Servette FC pourrait se dire que le FC Winterthur tombe à pic! Et si c’était le contraire?
Après un match perdu 0-2 à Lucerne alors qu’il produisait du jeu, Servette peut entrevoir de l’espoir. Il y a eu du jeu, des actions mais malheureusement beaucoup de déchets devant le but. Certains joueurs reviennent en force comme Ondoua tandis que d’autres se blessent (Baron).
Bref, le pain quotidien d’un Servette en dents de scies qui cumule seulement 3 victoires en 14 rencontres officielles. Le bilan comptable de René Weiler ne plaide pas en sa faveur. Avec un jeu encore stéréotypé malgré des améliorations nettes face au pensionnaire de la swissporarena, il faudra voir autre chose ce mercredi à 20h30 au Stade de Genève contre le FC Winterthur.
Les Grenat batteront le fer face à un adversaire coriace. Loin du petit rôle de promu, qui lui a fait passer à un cheveu de la relégation, Winterthur ne s’est pas laissé faire à l’inter-saison pour revivre le même calvaire. Avec un nouvel entraîneur en la personne de l’ancien des M21 suisses Patrick Rahmen, les Zurichois ont, semble-t-il, mangé une soupe qui les ont rendu plus forts!
Pire (pour les Genevois), il font de l’ombre à un Servette qui n’affiche que 6 malheureux points en 7 rencontres. Bien insuffisant à ce stade de l’année, au contraire du futur adversaire de la Praille qui affiche fièrement 11 points et un différentiel de 0. Et surtout, il reste lors des cinq derniers matchs sur une dynamique d’un nul et trois victoire, dont la récente contre le SLO! Mais parmi les plus mauvaises défenses du pays (15 buts encaissés), ne serait-ce pas là la faille que Servette doit exploiter mercredi? Ou est-ce que la grosse blessure aux ligaments du défenseur et capitaine Lekaj va ressouder l’équipe? Réponse mercredi.
Pourquoi Winterthur fait-il un bon début de saison?
Il n’y a pas de miracles: Bruno Berner ne faisait pas sensation sur le banc et le changement apporté par la direction a fait l’effet d’une bombe outre-Sarine. Après un passage à Bâle, Rahmen a pu former l’élite des jeunes suisses durant une année, voyant passer les Rieder, Imeri et Amdouni. Aujourd’hui, il peut compter sur l’un de ses incroyables jeunes en la personne de Matteo Di Giusto (3 buts et 3 passes décisives). Infatigable milieu de terrain, créatif au possible, il est le maître à jouer d’un FC Winterthur sans complexes.
Encore mieux, le club basé dans la sixième plus importante ville de Suisse a recruté de manière subtile de bons éléments à travers le pays, notamment à Sion avec le virevoltant Musa Araz dans la rotation, et le désormais titulaire Luca Zuffi. Du côté de YB, le club est allé chercher l’ancien junior servettien Alexandre Jankewitz qui donne le tournis aux adversaires avec ses 3 passes décisives. Mais surtout, il y a des éléments clés sur le plan offensif qui sont arrivés et qui font du bien à l’attaque zurichoise : Sayfallah Ltaief, venu de Bâle, comptabilise 3 buts à l’instar de l’ex-Lausannois Aldin Turkes. Revenu d’une longue blessure, le grand attaquant fait à nouveau parler la poudre en championnat!
Malgré le fait que Winterthur est devenu une équipe difficile à manoeuvrer, c’est l’occasion ou jamais pour René Weiler et son équipe de se relancer ce mercredi. Car quelques jours plus tard, c’est le derby contre le Lausanne Sport! Il est temps de se retrousser les manches.
Deuxième match de la semaine et deuxième défaite pour le SFC, sur le score similaire de 2 buts à 0. Pour autant, les similitudes s’arrêtent là tant le contenu donne (enfin!) des motifs d’espoir.
Servette a sans doute joué son meilleur match dans le jeu depuis la reprise mais s’incline tout de même sur un score très sévère au vu de la rencontre, la faute à une maladresse offensive assez incroyable et à une efficacité lucernoise tout aussi incroyable dans les 16 mètres adverses. Les circonstances sont une chose, la réalité comptable en est une autre : avec cette 3e défaite consécutive en championnat, les « Grenat » s’installent dans la zone de relégation avec (déjà) 5 points de retard sur le 6e et dernier qualifié pour le tour final qui désignera le Champion de Suisse 2023/24.
Le Match
Paradoxalement, Servette a peut-être produit son meilleur match depuis le début de la saison en terme de contenu. Ce n’est évidemment pas encore l’extase, mais il y a réellement du mieux. Ce dimanche, les servettiens ont totalement dominé la partie, subissant en fin de compte un petit hold-up, en attestent les chiffres qui confirment l’impression visuelle : 65% de possession de balle vs 35% pour Lucerne, 28 tirs à 8, 8 tirs cadrés à 2, 11 corners à 1 et on pourrait encore en ajouter.
Mais le football, ce n’est pas les chiffres et, on ne le savait pas encore, mais la rencontre était pliée dès la 18e minutes après le 2-0 de Max Meyer, parti bien trop facilement dans le dos de la défense servettienne sur un contre éclair, concrétisant un réussite lucernoise insolente. Pour illustrer ces dires, un chiffre à mentionner: Lucerne est arrivé à la mi-temps avec un avantage de 2 à 0 alors que l’équipe de Suisse centrale n’a cadré qu’un seul tir lors des 45 première minutes, le premier but étant inscrit par Bolla contre son camp…
Côté genevois? Et bien c’est tout l’inverse. Avec une jouerie ressemblant un petit peu plus à ce que l’on avait l’habitude de voir sous Geiger, Servette a complètement dominé son adversaire du jour, Cognat et Ondoua touchant beaucoup plus de ballons que lors des matchs précédents où ceux-ci voyaient les balles leur passer par-dessus la tête, direction l’attaque. Le hic, c’est qu’avec cette jouerie (un peu) retrouvée, Servette est aussi retombé dans ses travers à la finition.
Incroyablement maladroits, les « Grenat » ont plus ou moins tout raté dans les 20 derniers mètres adverses. Stevanovic incapable de marquer alors qu’il s’est retrouvé par deux fois seul dans les 7 derniers mètres, dont une avec le gardien au sol, Crivelli imprécis dans son dernier contrôle ou son dernier dribble, Cognat, Ondoua, Baron, Bolla ou encore Kutesa auteurs de tellement de frappes non cadrées ou beaucoup trop faibles pour inquiéter le gardien adverse. Servette manque de hargne dans le dernier geste et cela lui coûte cher dans un match comme celui-ci.
Et lorsqu’enfin, Kutesa arrive à toucher la tête de Crivelli entre 2 défenseurs lucernois, c’est Lorentz qui fait une parade monumentale du pied avant que Stevanovic ajuste la transversale à 3 mètres des buts alors que Lorentz ne s’est pas encore relevé de sa parade. Bref, Servette a manqué de réussite, certes, mais il a aussi et surtout manqué d’une hargne qui force le destin dans ce genre de rencontre.
Les joueurs
Individuellement, il y a eu de tout ce dimanche avec un point commun pour chacun: un gros goût d’inachevé.
Prestation très paradoxale pour Frick qui n’aura eu quasiment rien à faire tout au long du match mais qui est tout de même légèrement fautif sur le csc de Bolla. Sa sortie n’est pas franche et il ne fait que dévier légèrement le ballon sur Bolla.
Bolla, on y revient. Avec Baron, il aura peut-être été l’homme le plus décisif de ce match, dans le mauvais sens du terme malheureusement. Sur le premier but, Baron se fait balader de son côté avant que Bolla inscrive le CSC malchanceux dont on a déjà parlé. Sur le second but, Baron rate son interception, puis laisse Okou tranquillement jouer en se tenant à 2m de lui. De l’autre côté, Bolla croit bon de jouer le hors-jeu au lieu de suivre Meyer qui fait un appel plein axe. Résultat: servi en profondeur avec un timing parfait par Okou, Meyer s’en va ajuster Frick en 1 contre 1. Une énorme passivité pour un second but d’école. Dans l’axe, Rouiller rate son interception sur se 2e but. En dehors de ça, pas grand chose à signaler, l’axe Rouiller-Séverin aura été solide en récupérant un nombre important de ballons.
Au milieu de terrain, si Douline est au-dessus de Ondoua à la récupération, force est de constater que la paire Ondoua-Cognat a plutôt bien fonctionné dans une configuration de match comme celle de dimanche, dans laquelle Servette domine le jeu. Propres à la construction, il leur manque tout de même le fait d’être plus décisif aux abords des 16m adverses. Antunes a, lui été très actif, comme d’habitude depuis quelques matchs. Ses prises de balle tout en mouvement font mal aux défenseurs, il lui manque pourtant aussi d’être plus juste dans la dernière passe, lui qui se retrouve régulièrement en bonne position près des buts adverses.
Sur les côtés, Kutesa et Stevanovic ont été actifs, voire très actif pour Stevanovic. Une multitude de débordements et de centres dont un splendide de Kutesa sur la tête de Crivelli dans les 5m adverses. Le fait d’avoir un Servette haut aura également servi leurs desseins, ceci les dispensant de longues courses de défense. Malheureusement, même constat ici que pour les autres joueurs, les deux ailiers genevois ont bien trop de déchets devant les buts et se doivent d’être plus efficace si Servette veut remonter au classement. Stevanovic a raté 2 énormes occasions, un duel 1 vs 1 avec le gardien et une frappe alors que le gardien était au sol. Kutesa manque également de justesse lorsqu’il se retrouve aux alentours de la surface (frappes trop molles ou non-cadrées, dernière passe mal ajustée), malgré une capacité à éliminer son adversaire qui reste impressionnante. C’est trop et cela s’est payé cher.
Enfin, Crivelli s’est démené devant au contact des centraux lucernois. Une belle tête sauvée par Lorentz, un crochet trop long sur ce même Lorentz et quelques situations dans lesquelles il aura manqué de finesse dans son contrôle de balle à son actif. Un match frustrant pour lui.
Du côté des joueurs entrés en cours de match, Bedia aura apporté du poids devant lors du dernier quart d’heure. Pour Rodelin et Guillemenot, c’est une autre histoire, leur entrée ayant été totalement transparente. L’apport de Rodelin dans l’effectif commence à poser questions.
Le Coaching
Inquiétant. L’apport de René Weiler semble aujourd’hui insuffisant. Il a eu du temps pour essayer de former son effectif à son style de jeu mais il n’y a pas d’amélioration depuis mi-juillet. Pire que cela, l’équipe semble sans maître à bord durant les matchs, la passivité du coach grenat étant assez effarante. Dimanche, le coach servettien a attendu le dernier quart d’heure pour effectuer son premier changement et pour prendre des risques. Pourquoi être aussi frileux alors même que Lucerne ne faisait que défendre depuis son 2e but?
C’est un sentiment de gâchis qui vient en tête lorsque l’on pense à ce que produit Weiler. Un effectif large pour la Super League lui a été offert et il n’en tire pas le maximum de par sa passivité à agir sur le cours du match. C’est insuffisant, à l’image de ce que montre l’équipe sur le terrain.
Tantôt Servette joue mal mais a de la réussite et de l’efficacité, tantôt Servette joue mieux mais est inefficace au possible, il est bien difficile, semble-t-il, cette saison d’aligner les planètes pour notre équipe. Pour autant, il reste de ce match des points positifs. Il faut rappeler que Servette a très largement dominé une équipe qui est aujourd’hui en tête de la Super League avec YB. Il reste beaucoup de matchs à jouer et Servette a un effectif profond lui permettant de faire face aux nombreuses prochaines échéances. A commencer par la réception de Winterthur, ce mercredi soir.
Autant dire que la victoire sera impérative. Autant pour Servette que pour Weiler…